Définition site miroir
Un site miroir se définit comme une réplique d’un site hébergé sur un serveur différent du site principal. En d’autres termes, ce type de site reprend la même architecture et le même contenu que les sites d’origine. Toutefois, les sites miroirs se caractérisent par des URL Google différentes.
Les notions de site miroir et de duplicate content sont totalement différentes. Le fait de créer un site miroir est totalement validé par les moteurs de recherche, notamment l’Algorithme Google. A la différence d’une copie de sites illégitimes, il s’agit d’un moyen de répartir ou d’optimiser le trafic trop élevé sur un site internet principal. Pour la création d’un site miroir, il est important d’utiliser un serveur performant, d’outils de copie adaptés et d’un nom de domaine spécifique.
L’utilisation des sites miroirs : quels avantages ?
La création d’un site miroir a pour objectif d’optimiser les performances SEO du site principal en répartissant le trafic. C’est une solution optimale pour faciliter l’accès aux services et produits proposés sur le site principal. Vous pouvez adopter cette technique pour des serveurs situés dans des zones géographiques séparées. Cela signifie que les utilisateurs situés à l’autre bout du monde pourront facilement accéder au même contenu que celui du serveur original. En d’autres termes, les sites miroirs mis en place peuvent être adaptés aux spécificités des différentes zones géographiques en question.
Ce système se présente également comme un moyen de protection efficace en cas de problème de réseau ou d’accès aux données. Le concept de site miroir est également courant chez les plateformes de téléchargement. Cela permet de télécharger rapidement et facilement les fichiers volumineux. Cette technique permet également d’avoir facilement accès aux contenus censurés (accès limité ou interdit).
En bref, l’utilisation des sites miroirs vise à améliorer l’expérience utilisateur et d’anticiper les erreurs de réseau. Faites attention à ne pas le confondre avec le cybersquattage, le phishing ou encore le typosquattage.