Le ROAS est une métrique clé pour évaluer la rentabilité des campagnes publicitaires. Il mesure combien d’euros sont générés pour chaque euro dépensé en publicité, permettant ainsi aux annonceurs d’optimiser leur retour sur investissement.

ROAS = Revenus générés / Dépenses publicitaires

Par exemple, si vous dépensez 1 000 € et générez 5 000 € de revenus, votre ROAS est de 5. Un ROAS de 5 signifie que pour chaque euro dépensé, vous récupérez 5 € en retour.

Le ROAS est un indicateur crucial pour mesurer l’efficacité de vos campagnes publicitaires dans Google Ads. Il permet aux annonceurs de :

• Évaluer la performance des campagnes : Un ROAS élevé montre que vos annonces convertissent bien et génèrent un retour sur investissement positif.
• Optimiser le budget : Identifier les campagnes les plus rentables et redistribuer le budget pour maximiser les bénéfices.
• Prendre des décisions basées sur des données : Un ROAS faible signale la nécessité d’ajustements, que ce soit au niveau des annonces, des mots-clés ou de l’optimisation des enchères.

• Segmentation des campagnes : Adaptez vos annonces en fonction des segments d’audience et des produits pour cibler précisément les utilisateurs à fort potentiel.
• Améliorer les enchères : Utilisez des stratégies d’enchères intelligentes comme l’optimisation des enchères basées sur le ROAS cible. Cette fonctionnalité ajuste automatiquement les enchères pour maximiser les conversions tout en respectant votre ROAS cible.
• Optimisation des annonces : Créez des annonces pertinentes et attrayantes en fonction des intentions de recherche. Testez différentes variantes pour identifier celles qui génèrent le plus de conversions.
• Optimisation des pages de destination : Assurez-vous que vos pages de destination sont alignées avec les intentions de recherche des utilisateurs et qu’elles offrent une expérience fluide. Une page mal conçue peut entraîner des taux de rebond élevés et réduire votre ROAS.

Le ROAS cible varie selon les secteurs et les marges bénéficiaires. Par exemple :

• Un ROAS de 4 est souvent considéré comme satisfaisant dans le e-commerce.
• Des secteurs comme le luxe, santé, avocats ou les produits numériques peuvent viser un ROAS de 10 ou plus.

Le Research Online Purchase Offline (ROPO), aussi connu sous le terme de web-to-store, décrit le comportement d’achat où les consommateurs recherchent des informations en ligne avant d’effectuer leur achat dans un magasin physique. Cette tendance s’est accélérée avec la montée du commerce digital, mais elle révèle l’importance croissante de la complémentarité entre les canaux numériques et les points de vente physiques.

Le comportement ROPO a un impact direct sur le référencement naturel (SEO) des entreprises, notamment les commerces locaux. Voici les leviers SEO à activer pour maximiser les résultats de ce comportement :

• SEO Local : Optimiser le référencement local et multi-sites est fondamental pour capter les clients qui recherchent en ligne des informations avant d’acheter en boutique. Des outils comme Google My Business, des avis clients, et des fiches locales bien renseignées sont essentiels pour apparaître dans les recherches géolocalisées.
• Création de contenus informatifs : L’élaboration de contenus spécifiques aux produits et services permet de répondre aux intentions de recherche des utilisateurs en ligne. Les pages produits doivent être riches en informations (prix, disponibilité en magasin, avis clients, etc.), favorisant l’achat en magasin après consultation.
• Utilisation des données structurées : Les balises Schema.org pour les entreprises locales et les produits permettent aux moteurs de recherche d’afficher des informations pertinentes comme les horaires, les adresses et les avis, augmentant ainsi la visibilité des magasins dans les résultats de recherche.
• Mobile-first : La majorité des recherches ROPO se font via des appareils mobiles. Google pénalise les sites non adaptés aux mobiles, d’où l’importance d’avoir un site responsive Mobile Friendly. Une bonne vitesse de chargement, une interface claire et une expérience utilisateur optimale sont essentielles pour capter l’audience ROPO.

• Le modèle ROPO montre que les utilisateurs n’ont pas forcément besoin d’effectuer leur achat en ligne pour qu’une stratégie de marketing digital soit efficace. Il permet de comprendre que le site web et la visibilité en ligne jouent un rôle central dans le parcours d’achat, même si la conversion finale se fait en magasin.

  Voici quelques statistiques marquantes :

  • 82% des consommateurs effectuent des recherches en ligne avant d’acheter en magasin, selon une étude de RetailDive.
  • Les recherches localisées, telles que « près de chez moi », ont augmenté de 500% ces dernières années, ce qui montre l’intérêt des consommateurs pour des points de vente physiques après une recherche en ligne.
  • Les visites en magasin suite à une interaction en ligne peuvent générer un taux de conversion 2 à 3 fois supérieur à celui des ventes purement en ligne.

Pour mesurer l’efficacité du ROPO, des outils comme Google Analytics permettent d’analyser :

• Le trafic issu de recherches locales.
• Les conversions hors ligne enregistrées grâce aux codes promotionnels ou au suivi des appels téléphoniques depuis le site.
• Les taux d’interaction sur les pages produits, les fiches d’informations locales et les sections contact.

Il est également possible de mesurer le taux de conversion offline avec des outils de suivi avancés ou des systèmes CRM intégrés aux outils digitaux.

Utilisez des outils comme Google Analytics et Google My Business pour suivre les interactions en ligne qui aboutissent à une visite en magasin. Des codes promotionnels et des enquêtes en magasin peuvent également aider à établir un lien direct.

Google My Business est essentiel pour la visibilité locale. Utilisez également des outils d’analyse comme Google Search Console et Google Analytics pour suivre les recherches locales et mobiles et les outils de suivi d’appel comme CallRail.

Oui, bien qu’il soit particulièrement pertinent dans des secteurs tels que la vente de détail, l’automobile, l’électronique et les services de santé (hôpitaux, cliniques privées). Les secteurs à forte composante tactile, où le consommateur souhaite voir et tester le produit, sont particulièrement concernés.

Proposez des informations complètes en ligne, des avis et une stratégie de SEO local solide. De plus, des offres exclusives en magasin accessibles après consultation en ligne peuvent inciter les consommateurs à finaliser leur achat en personne.

Les Réseaux Neuronaux Récurrents (RNN) sont un type de réseau de neurones artificiels spécialement conçus pour traiter des séquences de données. Contrairement aux réseaux neuronaux traditionnels (feedforward), les RNN disposent de connexions récurrentes qui permettent aux informations de circuler non seulement d’une couche à une autre, mais aussi de revenir en arrière dans le réseau, ce qui leur confère une « mémoire » des informations précédentes.

Un RNN est structuré autour de cellules neuronales récurrentes qui conservent une trace de l’état précédent. Cela signifie qu’à chaque nouvelle entrée, le réseau prend en compte non seulement la donnée actuelle, mais aussi ce qu’il a appris des étapes précédentes. Cette capacité à traiter des informations séquentielles est cruciale pour des tâches comme la reconnaissance vocale, la traduction automatique, et la modélisation de langage naturel.

Chaque cellule de neurone dans un RNN suit l’équation :

Malgré leur utilité, les RNN classiques souffrent du problème du gradient qui disparaît. Au fur et à mesure que l’on remonte dans le temps, les gradients qui sont utilisés pour ajuster les poids du réseau deviennent extrêmement petits, ce qui rend difficile l’apprentissage sur des séquences longues. Pour pallier ce problème, des variantes comme les LSTM (Long Short-Term Memory) et GRU (Gated Recurrent Unit) ont été développées, qui sont capables de mieux gérer des dépendances à long terme.

Dans le cadre d’un article sur les RNN, il est crucial de suivre certaines pratiques SEO pour s’assurer qu’il soit bien positionné dans les moteurs de recherche.

• Recherche de mots-clés : Les termes techniques comme « Réseaux Neuronaux Récurrents », « RNN », « LSTM », « modélisation séquentielle », et « deep learning » doivent être intégrés dans les balises H1, H2, et dans le contenu lui-même.
• Contenu long et détaillé : Google privilégie les articles informatifs, d’au moins 1000 mots, qui couvrent un sujet en profondeur.
• Balises meta et description : Une description SEO optimisée (160 caractères) contenant des mots-clés essentiels tels que « RNN », « réseaux neuronaux », et « modélisation séquentielle » est cruciale pour améliorer le taux de clics (CTR).
• Liens internes et externes : Ajouter des liens internes vers d’autres articles techniques sur les réseaux neuronaux et le deep learning ainsi que des liens vers des ressources fiables comme des articles scientifiques ou des cours en ligne renforce la crédibilité du contenu.
• Données chiffrées : Le taux de croissance des recherches en ligne sur les sujets liés au « machine learning » a augmenté de 46% entre 2021 et 2023 selon certaines analyses SEO, renforçant l’intérêt pour des articles techniques de qualité.

Un réseau neuronal traditionnel traite des données indépendantes les unes des autres, tandis qu’un RNN est capable de traiter des séquences de données en tenant compte des informations précédentes grâce à ses connexions récurrentes.

Les RNN utilisent la rétropropagation à travers le temps pour ajuster les poids. Sur des séquences longues, les gradients deviennent de plus en plus petits, ce qui rend l’apprentissage difficile pour des étapes éloignées.

Les LSTM sont préférés pour les tâches qui nécessitent de prendre en compte des dépendances à long terme dans les données séquentielles, comme la traduction de texte ou la prédiction de séries temporelles complexes.

Les RNN sont largement utilisés dans le traitement du langage naturel (NLP), la reconnaissance vocale, la traduction automatique, et la prévision de séries temporelles dans des secteurs tels que la finance, la santé, et la technologie.

Bien que les RNN soient conçus pour les données séquentielles, ils peuvent être adaptés à des tâches non séquentielles, mais d’autres architectures comme les réseaux feedforward ou les CNN peuvent être plus efficaces dans ces cas.

L’intégration de ces éléments techniques et de cette stratégie SEO permettra d’optimiser la visibilité d’un article technique sur les RNN et de maximiser son impact sur les moteurs de recherche.

Vous envisagez de créer un site web ou application mobile ? Prenez en compte les critères d’ergonomie imposés par les moteurs de recherche. En effet, l’algorithme Google est parfaitement clair sur ses exigences en matière de conception de site. C’est pourquoi les webmasters investissent toutes leurs ressources techniques afin de s’y conformer. A ce jour, le responsive design figure parmi les paramètres les plus importants pour assurer une expérience utilisateur optimale.

Le responsive web design RWD ou site web réactif est une technique de conception web permettant d’ajuster l’interface des pages web à la taille de l’écran utilisé. En d’autres termes, il s’agit d’une approche visant à concevoir des sites web adaptatifs à toutes les tailles et résolutions d’écrans, qu’il s’agisse d’un ordinateur de bureau, d’ordinateurs portables, d’une tablette, d’un téléphone mobile ou encore d’une TV connectée. Le Responsive Web Design est souvent confondu avec un concept plus large, l’Adaptive Design. Design responsive ou Design adaptatif, les deux méthodes de conception visent à améliorer l’ergonomie mobile du site web.

Les sites web adaptatifs offrent des avantages considérables, que ce soit en termes de navigation ou de positionnement SEO.

Un site web responsive se caractérise par une architecture adaptative, ce qui offre un confort de navigation sur tous types d’appareils. En effet, l’interface s’adapte parfaitement à la taille de l’écran : mise en page, menu, textes, boutons CTA, etc.

Avec le responsive design, vos textes s’adaptent au support utilisé par l’internaute ou le mobinaute : taille des polices, largeur des colonnes de texte, police des appels à l’action, etc. Ces éléments peuvent s’adapter à l’écran, même si vous basculez d’un appareil à un autre. On parle également de « mobile first ». Cette nouvelle approche est possible, grâce à un système de grilles fluides et aux CSS3 Media Queries. Ceux-ci permettent de gérer les feuilles de style (points de rupture responsive).

Le responsive design permet également d’ajuster automatiquement la taille de vos images à l’écran utilisé. Il est programmé pour changer de disposition en fonction de l’appareil utilisé. Par exemple, un site peut afficher deux images par colonne sur un ordinateur. En revanche, il affichera une seule colonne pour la version mobile.

Concevoir un site adaptatif offre un véritable atout SEO. A la différence d’un site mobile distinct, un site web responsive vous permet de réunir tous les critères de référencement naturel. La mise en place d’une stratégie responsive permet d’augmenter le taux de conversion et de réduire le taux de rebond.

Pour profiter de tous ces avantages, le webdesigner doit respecter certains paramètres :

• Le codage HTML
• L’architecture du site
• La feuille de style
• Les images adaptatives

Pour ce faire, vous devez créer vos buyer personas. Cela vous permettra de définir au mieux les attentes et les exigences de vos utilisateurs cibles. L’idée est de se mettre à la place de l’utilisateur : intention de recherche, informations recherchées, etc.

Privilégiez la simplicité pour augmenter vos chances de devenir responsive. Utilisez une base épurée, avec des feuilles de style simples à modifier. Une mise en page peut être considérée comme simple, lorsque :

• L’ensemble des pages repose sur une même structure ;
• Il n’y a aucune surcharge visuelle inutile ;
• Les barres de menus sont à la fois courtes et parfaitement organisées.

Pour simplifier votre code HTML, vous devez éviter les positionnements absolus. Il est aussi conseillé d’utiliser le doctype HTML5 et de se conformer aux normes W3C.

La balise meta viewport permet la simulation du format d’une page en version mobile, sans influencer la résolution. Elle doit être utilisée à bon escient afin de pouvoir s’adapter aux différentes tailles d’écran.

Pour effectuer leurs recherches, les internautes préfèrent la navigation sur mobile. C’est pourquoi il est important de mener un travail spécifique sur l’ergonomie mobile (zones cliquables, fonctionnalités, etc.). Toutefois, évitez de surcharger votre site avec des éléments inutiles.

Il est tout à fait possible de vérifier si votre site a un design responsive. D’ailleurs, il existe de nombreux types de simulateurs en ligne que vous pouvez utiliser : google mobile-friendly test, website planet, piresponsive, etc.

Il existe d’autres alternatives qui peuvent être utilisées pour créer des sites web mobile et des applications adaptés aux différents écrans.

Au lieu de créer un site web unique qui s’adapte à tous les écrans, il est possible de créer des sites web dédiés pour chaque taille d’écran. Cela permet de personnaliser l’expérience utilisateur en fonction de l’appareil utilisé, mais cela peut également entraîner une duplication de contenu et une gestion plus complexe du site.

Les applications mobiles sont une alternative au responsive design pour les utilisateurs qui accèdent principalement au contenu via leur téléphone portable. Les applications peuvent être conçues pour s’adapter à la taille de l’écran et fournir des fonctionnalités plus avancées qu’un site web, mais elles nécessitent un téléchargement et une installation.

Les sites web adaptatifs sont une évolution du responsive design qui permettent d’adapter le contenu et les fonctionnalités en fonction des caractéristiques de l’appareil mobile utilisé. Les sites web adaptatifs prennent en compte des facteurs tels que la résolution d’écran, le système d’exploitation et les fonctionnalités de l’appareil pour fournir une expérience utilisateur optimisée.

Les PWA sont des sites web qui sont conçus pour offrir une expérience utilisateur similaire à celle d’une application mobile, mais qui peuvent être consultés directement via un navigateur web. Les PWA offrent des fonctionnalités avancées telles que l’accès hors ligne, les notifications push et l’intégration avec le système d’exploitation, tout en étant facilement accessibles depuis un navigateur web.

En résumé, les alternatives au responsive design incluent les sites web dédiés, les applications mobiles, les sites web adaptatifs et les Progressive Web Apps. Le choix de la méthode dépend des objectifs de conception, des besoins de l’utilisateur et des ressources disponibles.

Le responsive, l’adaptive et le fluid sont trois approches différentes pour la conception de sites web et d’applications qui visent toutes à fournir une expérience utilisateur optimale sur différents écrans. Bien que ces termes soient souvent utilisés de manière interchangeable, ils ont des significations différentes.

On utilise des grilles flexibles et des images redimensionnables pour s’adapter à la taille de l’écran de l’utilisateur. Le contenu et les éléments de navigation s’ajustent automatiquement en fonction de la résolution de l’écran, sans nécessiter d’actions supplémentaires de la part de l’utilisateur. Cette approche est très populaire car elle est relativement simple à mettre en œuvre et offre une grande flexibilité pour les différents appareils et tailles d’écrans.

Utilisation des mises en page et des éléments de conception différents pour s’adapter à des tailles d’écran spécifiques. Plutôt que de redimensionner simplement les éléments existants, l’adaptive design crée des conceptions uniques pour chaque taille d’écran. Par exemple, un site web peut avoir une version pour les écrans de bureau, une autre pour les tablettes et une autre pour les téléphones portables. Cette approche est plus complexe que le responsive design mais offre une expérience utilisateur plus optimisée pour chaque appareil.

Méthode de conception de sites web qui utilise des pourcentages plutôt que des pixels pour définir les dimensions des éléments. Les conceptions fluides s’adaptent donc automatiquement à la largeur de l’écran de l’utilisateur. Cette approche est particulièrement adaptée aux sites web qui doivent s’adapter à un large éventail de tailles d’écran et peut fournir une expérience utilisateur plus cohérente que le responsive design.

En résumé, le responsive design utilise des grilles flexibles et des images redimensionnables pour s’adapter à la taille de l’écran de l’utilisateur, l’adaptive design crée des mises en page et des éléments de conception uniques pour petit écran, tandis que le design fluid utilise des dimensions en pourcentage pour créer des conceptions qui s’adaptent automatiquement à la largeur de l’écran. Chaque approche a ses avantages et ses inconvénients, et le choix dépendra des besoins de l’utilisateur et des objectifs de conception du site web ou de l’application.

Dans l’univers du SEO, le terme « referrer » referer ou encore référent, désigne l’URL Google d’un site qui génère du trafic sur un autre site. Cela peut se faire via un lien entrant ou plusieurs liens. Les liens référents sont regroupés par domaines, ce qui aide le webmaster à contrôler l’ensemble des sites qui lui envoie du trafic. Les liens provenant des moteurs de recherche peuvent aussi être considérés comme des referrers.

Voici un exemple pour vous aider à comprendre le concept d’un site référent :

Supposons qu’un internaute parcourt une page du site A, tombe sur un lien menant vers un site B et clique dessus. Avant le chargement de l’URL de la page demandée, le navigateur envoie un en-tête http regroupant quelques données relatives au site B. Si le webmaster de ce dernier souhaite analyser son trafic, il peut chercher l’URL du site A dans des outils de web analytique comme Google Analytics. Il obtiendra également d’autres informations comme le nombre de visites générées par le site source. Ce genre d’outils se base sur les données fournies par le protocole IP. Il s’agit d’une sorte de tableau de bord élaboré par les moteurs de recherche.

Les moteurs de recherche accordent une grande importance aux liens référents pour déterminer la qualité et la pertinence d’un site web. Ainsi à travers une stratégie de netlinking et de linkbaiting, plus vous avez de liens référents provenant de sites de qualité, plus votre site aura de chances d’être mieux classé dans les résultats de recherche.

Les liens référents peuvent également vous apporter du trafic directement en provenance d’autres sites web. Si un site web renvoie à votre site via un lien en dofollow ou nofollow, les visiteurs de ce site peuvent cliquer sur le lien pour accéder à votre site.

Les liens référents avec des mots clés de marque comme ancre provenant de sites web fiables et pertinents peuvent renforcer votre crédibilité en ligne. Les visiteurs de votre site seront plus enclins à vous faire confiance si votre site est recommandé par des sites de qualité. De plus, si vous avez un grand nombre de domaines référents avec des backlinks qualitatifs, le PageRank de votre site s’améliorera. Cet indice de popularité est attribué par Google à chaque plateforme en fonction de son profil de liens

Les liens référents peuvent également vous aider à établir des relations avec d’autres sites web et à élargir votre réseau en ligne.

Pour analyser le trafic de référence (referral) vers votre site via Google Analytics, suivez les étapes suivantes :

• Connectez-vous à votre compte Google Analytics et sélectionnez le site que vous souhaitez analyser.
• Cliquez sur « Acquisition » dans le menu de gauche, puis sur « Tout le trafic » et enfin sur « Source/Média ».

Vous verrez alors une liste de sources de trafic, triées par ordre décroissant de trafic. Parmi ces sources, vous verrez la catégorie « Référents » (ou « Referral » en anglais) qui indique les sites web qui renvoient du trafic vers votre site.

Pour obtenir plus de détails sur les sites de référence, cliquez sur « Référents » pour afficher la liste des sites web qui ont renvoyé du trafic vers votre site. Vous pouvez cliquer sur chaque site pour voir les pages web de votre site qui ont été visitées par les visiteurs provenant de ce site.

Pour affiner votre analyse, vous pouvez également utiliser la fonction « Segmentation » pour afficher uniquement les données de référence. Cliquez sur le bouton « Ajouter un segment » en haut de la page, puis sélectionnez « Trafic de référence » dans la liste des segments.

En analysant le trafic de référence via Google Analytics, vous pouvez identifier les sites web qui renvoient le plus de trafic vers votre site, les pages qui sont les plus populaires auprès de ces visiteurs et les opportunités pour améliorer votre référencement et votre présence en ligne.

Ces dernières années, Google a effectué de nombreux changements dans l’organisation des pages de résultats de recherche locale afin de proposer les réponses les plus pertinentes aux requêtes lancées. Désormais, les internautes ont la possibilité d’obtenir des résultats correspondant à leur position géographique, grâce à la géolocalisation. On parle également de résultats géolocalisés.

Il s’agit de résultats de recherche basés sur une localité ou une zone géographique spécifique. Les résultats locaux apparaissent souvent avec un extrait de google maps (featured snippets). Par exemple, les résultats naturels proposés par les moteurs de recherche seront différents pour une requête de type « restaurant » et une autre de type « restaurant à Paris ».

Dans ce second cas, Google va privilégier les sites situés dans la localité recherchée. Vous l’aurez compris, même un restaurant peu connu du quartier parisien a des chances de s’afficher en position 0 dans les SERP. C’est un moyen de générer des leads qualifiés.

La géolocalisation se fait à travers l’adresse IP de l’internaute. Dès que celui-ci est connecté à son compte Google, le moteur de recherche va considérer toutes ses informations de connexion. En cas d’incohérence entre l’adresse IP et les données renseignées sur le compte, Google fera apparaître une fenêtre pour demander la localisation de l’utilisateur. Sachez que pour chacune de vos requêtes, votre localisation est maintenant indiquée en bas à gauche de la page d’accueil de votre moteur de recherche.

Désormais, les résultats de Google peuvent varier d’une ville à une autre. A première vue, cela peut complexifier la mesure de la position de votre site dans les SERPs. Si vous souhaitez référencer votre activité au niveau local, vous devez relever vos positions géographiques depuis votre ville. Vous pouvez également évaluer l’impact de votre référencement local ou local SEO en analysant le trafic de votre site. Pour cela, Google met à votre disposition différents types d’outils.

Il n’est pas possible de géolocaliser directement les résultats de recherche Google. Toutefois, Google utilise votre emplacement pour personnaliser les résultats de recherche en fonction de votre zone géographique, ce qui signifie que les résultats peuvent varier selon l’endroit où vous vous trouvez.

Pour afficher des résultats de recherche plus pertinents pour une région spécifique, vous pouvez ajouter un emplacement géographique à votre requête de recherche. Pour ce faire, ajoutez simplement le nom de la ville, du pays ou du code postal à votre recherche. Par exemple, si vous recherchez des restaurants à Paris, vous pouvez taper « restaurants à Paris » dans la barre de recherche.

Il est également possible de modifier votre emplacement géographique dans les paramètres de recherche de Google.

Pour ce faire, suivez les étapes suivantes :

• Accédez à la page de recherche Google.
• Cliquez sur « Paramètres » en bas à droite de la page.
• Cliquez sur « Paramètres de recherche ».
• Sélectionnez « Emplacement » et entrez l’adresse ou la ville souhaitée.
• Cliquez sur « Enregistrer ».

Cela permettra à Google de personnaliser les résultats de recherche en fonction de votre emplacement géographique souhaité. Cependant, notez que cette méthode peut ne pas être précise à 100% en fonction de divers facteurs tels que votre adresse IP et la disponibilité de données de localisation précises pour votre emplacement.

Besoin d’aide pour votre référencement local ? Contactez notre agence SEO pour un audit gratuit. 

Lorsqu’un internaute lance une requête sur Google, le moteur de recherche propose différents types de résultats. On parle également de « page de résultats de recherche » ou Search Engine Results Page. Parmi cette sélection se trouvent les résultats de recherche organique, soit les résultats générés naturellement. Ceux-ci correspondent aux réponses les plus pertinentes à la requête lancée.

Les résultats organiques désignent tout simplement les résultats des moteurs face à une requête donnée. Ils sont également connus sous le nom de résultats naturels, puisqu’ils sont générés selon les calculs de l’Algorithme Google. Les résultats de recherche organiques s’opposent ainsi aux résultats payants.

La SERP de Google est composée de deux principaux éléments, notamment les résultats organiques et les liens sponsorisés.

Les résultats organiques sont issus du SEO (Search Engine Optimization) ou référencement naturel. Ils peuvent se présenter sous différentes formes :

• Les featured snipets ou extraits mis en avant: Cet encadré d’un extrait de texte d’un site web pertinent optimisé s’affiche en position zéro lorsqu’il juge que le contenu en question répond efficacement à la requête lancée ;
• Le knowledge graph : ce terme fait référence aux informations (top stories) proposées en réponse d’une requête relative à une entité. Celle-ci peut être une personne, un événement, un lieu, une entreprise, etc. ;
• Les résultats locaux avec Google maps : ceux-ci s’affichent lorsqu’un internaute demande une adresse ou un itinéraire ;
• Les pages / sitelinks les plus pertinentes en matière de SEO : cela concerne les liens qualifiés comme naturels. Ce type de résultat est généralement au nombre de 10 par page de résultats de recherche ;
• Autres questions posées:  
  • Questions courantes : Il s’agit de questions qui sont souvent posées sur un sujet particulier. Google peut afficher une liste de questions courantes pour aider les utilisateurs à trouver des réponses à leur question.
  • Questions liées : Il s’agit de questions connexes à la requête de recherche de l’utilisateur. Google peut afficher des questions liées pour aider les utilisateurs à approfondir leur recherche sur un sujet particulier.
  • Questions contextuelles : Il s’agit de questions qui se posent en fonction du contexte de la requête de recherche de l’utilisateur. Par exemple, si l’utilisateur recherche « recettes de cuisine », Google peut afficher des questions contextuelles telles que « comment faire de la pâte à pizza » ou « comment faire des biscuits au chocolat ».

D’une manière générale, la recherche organique constitue la première source de visites. C’est ce qu’on appelle « trafic organique », soit l’ensemble des visites provenant d’un moteur de recherche et gagnées naturellement. Lorsqu’une page s’affiche dans les résultats organiques, elle a beaucoup plus de chances de générer des leads qualifiés. En effet, les internautes cliquent volontairement sur ce genre de résultats selon leur intuition, sans l’influence d’un canal payant.

Pour qu’une page web s’affiche dans les résultats organiques, elle doit répondre aux exigences de google. C’est pourquoi les référenceurs fournissent un effort considérable dans l’élaboration d’une stratégie SEO on-site et off-site.

Voici quelques éléments à prendre en compte :

• La sélection et l’insertion des mots-clés : il est important de proposer un contenu de qualité, doté de mots clés pertinents. Pour ce faire, il faudra identifier les requêtes les plus pertinentes. Pour générer un trafic organique global important, privilégiez les mots clés de longue traîne ;
• Les backlinks (liens externes et internes) sont un facteur de ranking important pour apparaitre dans le résultats organiques
• L’utilisation d’outils spécifiques : Google met en place des outils digitaux pour évaluer la pertinence de votre stratégie SEO. On peut par exemple citer Google Analytics, Google Ads, Google Search Console, etc. Ce type d’outils permet de déterminer les améliorations nécessaires et les mises à jour à effectuer pour optimiser le positionnement d’une page dans les SERP.

Afin de répondre rapidement et efficacement aux requêtes des internautes, Google propose de plus en plus de résultats enrichis dans les SERP. Ceux-ci se présentent sous différentes formes, selon le type de requête lancé par l’internaute. On retrouve par exemple les rich snippets qui sont des extraits enrichis affichés en dessous des liens affichés.

Le rich snippet (extrait enrichi) désigne le petit descriptif situé en dessous du lien pointant vers un site dans les résultats des moteurs de recherche. Il contient les informations essentielles qui permettent aux internautes d’avoir une idée globale d’un contenu. Google a mis en place ces extraits optimisés afin d’apporter une réponse rapide et cohérente à la requête des utilisateurs.

Cette fonctionnalité date de 2009. Elle permet non seulement de proposer la description d’une page web, mais aussi des avis, des commentaires ou même des images. En d’autres termes, les rich snippets ou appelés données structurées sont des balises sémantiques mises en place par le webmaster.

Google augmente les différents types de rich snippets selon les statistiques récoltées sur les requêtes lancées. A ce jour, ces extraits optimisés se déclinent sous ces catégories :

• Le snippet auteur : il s’agit d’un extrait qui contient le nom de l’auteur, les liens pointant vers des articles issus du même auteur et la photo de ce dernier ;
• Le rich snippets Organisation : ces rich snippets permettent de fournir les informations supplémentaires sur une entité, notamment la localisation, les horaires d’ouverture, les informations de contact, les tarifs ou encore les commentaires clients ;
• L’extrait enrichi Recette : celui-ci contient les données essentielles sur une recette de cuisine (temps de préparation, ingrédients, temps de cuisson, nombre de calories, notations, etc.) ;
• Les video snippets : celles-ci permettent d’obtenir une copie d’écran de la vidéo présente sur la page. Il peut s’agir d’un contenu publié sur YouTube ou sur Dailymotion ;
• Les review snippets : il s’agit de notations implémentées dans les résultats de recherche. Ce type d’extrait se présente généralement sous forme d’étoiles ;
• Le People Snippets : ce type d’extrait affiche des informations relatives à une personne (métier, lieu de travail, nom de l’entreprise employeur, photo, etc.). ;
• L’event snippets : il permet de fournir des données liées à un événement (date, lieu, horaires, etc.). ;
• Le Music Album snippets : cet extrait présente des liens pointant vers les titres d’un album. Il peut également proposer les paroles d’une chanson.
• Le rich snippets Produit : il s’agit d’une description de produit contenant diverses informations comme le prix, la notation ou même la photo.
• Les extraits de FAQ : ils affichent des questions et des réponses pertinentes sur un sujet.
• Les extraits de livres : ils affichent des informations sur les livres, tels que le titre, l’auteur et les commentaires.
• Le rich snippet d’actualité : ils affichent des informations sur les dernières nouvelles, telles que le titre, l’auteur et la date.
• Les extraits de résultats sportifs : ils affichent des informations sur les scores, les horaires et les classements des équipes sportives.

Vous devez utiliser le langage de balisage structuré appelé JSON-LD (JavaScript Object Notation for Linked Data). Voici les étapes à suivre :

• Choisissez le type de rich snippets que vous souhaitez ajouter à votre site web. Vous pouvez choisir parmi les types de rich snippets courants tels que les extraits de recettes, les extraits de critiques, les extraits de produits, etc.
• Consultez les lignes directrices de balisage de Google pour le type de rich snippets que vous avez choisi. Google a des lignes directrices strictes pour chaque type de rich snippets, alors assurez-vous de les lire attentivement.
• Utilisez un générateur de balisage pour créer le code JSON-LD pour votre rich snippet. Il existe de nombreux générateurs de balisage gratuits en ligne que vous pouvez utiliser, comme le générateur de balisage de schema.org.
• Collez le code JSON-LD généré dans le code HTML de votre page web. Vous pouvez le placer soit dans l’en-tête de la page, soit directement dans la section du contenu concerné.
• Vérifiez votre balisage en utilisant l’outil de test de données structurées de Google. Cet outil vous permettra de voir si votre balisage est correctement mis en place et si vous avez respecté toutes les lignes directrices de Google.
• Publiez votre page web avec le balisage correctement mis en place. Il est important de noter que Google peut prendre du temps pour indexer votre balisage et afficher vos rich snippets dans les résultats de recherche.

Voici quelques raisons pour lesquelles les rich snippets peuvent être bénéfiques pour votre stratégie SEO :

• Augmenter le taux de clics : Les rich snippets attirent l’attention des utilisateurs de recherche en fournissant des informations claires et concises sur le contenu de la page. Cela peut aider à augmenter le taux de clics sur votre site web, ce qui est un facteur important pour le classement dans les résultats de recherche.
• Améliorer la pertinence : Les rich snippets permettent à Google de mieux comprendre le contenu de votre site web. Cela peut aider à améliorer la pertinence de votre site pour les requêtes de recherche pertinentes, ce qui peut également améliorer votre classement dans les résultats de recherche.
• Accroître la crédibilité : Les rich snippets peuvent afficher des informations telles que les évaluations des utilisateurs, les prix et les disponibilités, ce qui peut aider à renforcer la crédibilité de votre site web auprès des utilisateurs de recherche.
• Réduire le taux de rebond : Les rich snippets aident les utilisateurs à mieux comprendre le contenu de la page avant de cliquer sur le lien, ce qui peut réduire le taux de rebond en fournissant aux utilisateurs les informations qu’ils recherchent dès le départ.

Il est important de noter que les rich snippets ne garantissent pas un meilleur classement dans les résultats de recherche. Cependant, ils peuvent aider à améliorer la visibilité, la pertinence, la crédibilité et l’expérience utilisateur de votre site web, ce qui peut avoir un impact positif sur votre stratégie de référencement naturel.

La vidéo est le nouveau format de communication préféré des internautes et des mobinautes. Selon les statistiques, elle constitue plus de 82 % du trafic internet au niveau mondial. Cela explique certainement la production massive de contenus vidéos, que ce soit sur les réseaux sociaux ou autres plateformes. En ce sens, le moteur de recherche Google consacre tout un onglet pour ce type de contenu. Il intègre le référencement vidéo dans ses critères d’évaluation.

Le vseo (Video Search Engine Optimization) désigne l’ensemble de toutes les techniques permettant le référencement naturel d’un contenu vidéo. Concrètement, cette stratégie SEO vise à optimiser la visibilité d’une vidéo sur votre site. Il s’agit d’une partie intégrante de votre stratégie de content marketing.

Le VSEO regroupe deux différents types d’actions :

• Le référencement sur une plateforme vidéo : chaîne Youtube, Dailymotion, etc. ;
• Le référencement de contenus hébergés : publication d’une vidéo sur votre site web pour générer du trafic de qualité.

Le VSEO est une partie intégrante du référencement naturel de votre site. Il offre des avantages considérables.

Publier une vidéo sur Youtube ou sur votre site internet vous permet de gagner un maximum de visibilité. De plus, cela augmenter vos chances d’apparaître dans le résultat de recherche Goolge rich snippet. Selon les référenceurs SEO, 10 à 20 % des pages webs affichées en premier dans les SERP contiennent au moins une vidéo et 90 % d’entre-elles sont des vidéos sur Youtube. Ce type de contenu est particulièrement attractif. D’ailleurs, il permet d’augmenter la durée de visite des utilisateurs sur votre site et réduire votre taux de rebond.

Obtenir plus de trafic, c’est bien. Mais maximiser le taux de conversion, c’est encore mieux. En ce sens, le VSEO vous permettra de capter l’attention de l’internaute. Vous pouvez utiliser ce genre de support pour présenter une marque, montrer les fonctionnalités d’un produit, décrire une offre ou autre.

Les vidéos peuvent aider à renforcer la notoriété de votre marque en permettant aux utilisateurs de mieux comprendre votre entreprise et votre offre. Cela peut conduire à une augmentation de la confiance et de l’engagement par des partages, commentaires sur les réseaux sociaux envers votre marque. Cela vous aidera également à acquérir des backlinks de qualité (liens entrants pointant vers vos pages web).

Le choix de l’hébergeur vidéo est important car cela peut affecter la vitesse de chargement de votre vidéo, ainsi que la qualité de votre vidéo. Choisissez un hébergeur vidéo fiable et réputé pour maximiser la qualité et la performance de vos vidéos.

Voici les principaux critères :

• Vitesse de chargement : Le temps de chargement de vos vidéos peut avoir un impact sur la satisfaction des utilisateurs et sur le référencement de votre site. Les moteurs de recherche, y compris Google, prennent en compte la vitesse de chargement des pages lorsqu’ils classent les sites web. Si vos vidéos mettent trop de temps à se charger, cela peut affecter le référencement de votre site.
• Qualité de la vidéo : La qualité de vos vidéos peut également affecter le référencement. Si vos vidéos sont de mauvaise qualité, cela peut affecter la satisfaction des utilisateurs et leur engagement avec votre contenu, ce qui peut à son tour affecter votre référencement. Il est important de choisir un hébergeur vidéo qui offre une qualité de vidéo élevée pour maximiser l’impact de votre contenu.
• Compatibilité avec les moteurs de recherche : Certains hébergeurs vidéo peuvent être plus compatibles avec les moteurs de recherche que d’autres. Par exemple, certains hébergeurs peuvent offrir des fonctionnalités de référencement intégrées, tandis que d’autres peuvent offrir des options de personnalisation qui permettent de mieux optimiser vos vidéos pour le référencement.
• Fonctionnalités de partage social : Lorsque vous partagez vos vidéos sur les réseaux sociaux, il est important de choisir un hébergeur vidéo qui offre des fonctionnalités de partage social. Cela peut inclure des options pour intégrer des boutons de partage sur les réseaux sociaux dans vos vidéos, ainsi que des fonctionnalités pour partager des extraits de vos vidéos sur les réseaux sociaux.

Un sitemap vidéo est un fichier XML qui décrit les vidéos disponibles sur votre site. Il contient des informations telles que le titre de la vidéo, la description, la durée, les balises de mots clés et l’emplacement de la vidéo sur votre site. En créant un sitemap vidéo et en le soumettant à Google, vous pouvez aider le moteur de recherche à mieux comprendre le contenu de vos vidéos et améliorer leur référencement.

Voici les éléments clés que vous devriez inclure dans votre videositemap :

• Emplacement de la vidéo : L’emplacement de la vidéo doit être clairement spécifié dans le videositemap. Cela aide les moteurs de recherche à trouver et à indexer vos vidéos plus facilement.
• Durée de la vidéo : La durée de la vidéo doit être spécifiée dans le videositemap. Cela peut aider les utilisateurs à décider s’ils ont suffisamment de temps pour regarder votre vidéo, et les moteurs de recherche à mieux comprendre le contenu de votre vidéo.
• Date de publication : La date de publication de la vidéo peut également être incluse dans le videositemap. Cela peut aider les utilisateurs à savoir si la vidéo est récente ou non, et peut également aider les moteurs de recherche à classer votre vidéo en fonction de sa pertinence pour les recherches actuelles.
• Balises de mots clés : Les balises de mots clés peuvent être incluses dans le videositemap pour aider les moteurs de recherche à mieux comprendre le contenu de votre vidéo et à la classer en fonction des termes pertinents.

Il est important de solliciter un accompagnement via une agence SEO dans l’optimisation de votre référencement vidéo. Voici quelques stratégies pour augmenter votre référencement sur YouTube

• Le contexte sémantique : pensez à inclure le mot-clé principal dans les titres et les descriptions de vos vidéos et fournir des légendes. Ceux-ci doivent être percutants, clairs et précis. Vous devez également prendre le temps d’insérer les balises tags et de choisir la catégorie de votre contenu ; Cela permettra à YouTube et aux moteurs de recherche de mieux comprendre le contenu de votre vidéo et d’afficher vos vidéos aux personnes qui recherchent ce type de contenu.
• La popularité par l’engagement des internautes : Les commentaires, les likes et les partages peuvent aider à augmenter le référencement de votre vidéo sur YouTube. Encouragez les utilisateurs et influenceurs web à interagir avec votre contenu en posant des questions, en répondant aux commentaires et en offrant des incitations à partager votre vidéo. N’oubliez pas de suivre le nombre de vues afin de cerner votre audience et d’adapter vos prochains contenus selon les attentes de votre public cible ;
• La localité : les vidéos ciblées sur une ou plusieurs localités sont plus pertinentes. Cela vous permettra d’avoir une cible géographique.
• Créer des miniatures attrayantes : Les miniatures sont la première chose que les utilisateurs verront lorsqu’ils cherchent des vidéos sur YouTube, il est donc important de créer des miniatures attrayantes pour inciter les utilisateurs à cliquer sur votre vidéo.

Pour classer une page web dans les résultats de recherche, Google utilise des robots d’exploration. Ceux-ci ont pour rôle de parcourir chaque URL Google existant et d’évaluer ses performances. Les pages répertoriées seront proposées dans les SERP en fonction des requêtes des internautes. Par ailleurs, les webmasters peuvent indiquer aux crawlers les zones à explorer à travers le fichier robots.txt. De quoi s’agit-il ? Quelle est son utilité en SEO ? Voici toutes les explications.

Il s’agit d’un fichier texte qui contient toutes les instructions destinées aux robots de crawl d’un moteur de recherche (Google Bing). Placé à la racine de votre site web, il joue un rôle important dans le référencement naturel. Créer un fichier robots.txt permet de spécifier aux crawlers ce qu’ils peuvent ou ne peuvent pas parcourir sur le site.

Le robots.txt s’appuie sur un protocole d’exclusion des robots. Une fois arrivés sur votre plateforme, les spiders téléchargent le fichier robots.txt afin de se renseigner sur les commandes qu’il contient. Si le fichier texte indique aux bots de ne pas explorer des documents spécifiques sur certaines pages de votre site, ceux-ci ne vont pas apparaître dans les robots des moteurs de recherche.

Pour accéder au fichier robots.txt, il vous suffit de lancer taper la requête correspondante (http://www.site.com/robots.txt » dans votre navigateur. Si votre site contient ce type de fichier, celui-ci s’affichera avec toutes les instructions qu’il contient. Dans le cas contraire, le navigateur affiche la page erreur 404.

• Ouvrez un éditeur de texte comme Bloc-notes ou Sublime Text.
• Commencez par la ligne d’instruction User-agent, qui spécifie le robot d’exploration pour lequel les règles sont définies. Par exemple, pour tous les robots, utilisez le code suivant :

User-agent: *

• Ensuite, vous pouvez spécifier les règles pour ce robot. Par exemple, si vous voulez empêcher le robot d’accéder à un dossier sur votre site, vous pouvez ajouter la règle suivante :

Disallow: /dossier/

• Si vous souhaitez autoriser l’accès à un dossier spécifique, utilisez la règle Allow. Par exemple :

Allow: /dossier-autorise/

• Vous pouvez également spécifier une URL de sitemap pour aider les robots à explorer votre site de manière plus efficace. Pour cela, ajoutez la ligne suivante :

Sitemap: http://www.exemple.com/sitemap.xml

• Une fois que vous avez terminé d’ajouter les règles appropriées, enregistrez le fichier sous le nom « robots.txt » à la racine de votre site web. Assurez-vous que le fichier est accessible via une URL de la forme « http://www.exemple.com/robots.txt » afin que les robots puissent le trouver et suivre les règles définies.

En règle générale, un fichier robots.txt contient 3 grandes catégories de données, notamment :

• Le spider ciblé ;
• L’URL de la page ou les références du dossier concerné ;
• L’instruction donnée au robot.

Pour intégrer ces informations, le webmaster doit utiliser une syntaxe spécifique afin que les commandes soient facilement interprétées par les robots. Si vous souhaitez que les spiders ne parcourent pas le dossier /intranet, à l’exception de la page /loging.php, vous devez utiliser cet exemple http :

User-agent :* (nom du crawler et autorise l’accès à tous les robots)

Disallow : /intranet (interdit l’exploration du dossier intranet)

Allow : /intranet/login.php

Le terme Googlebot disallow indique que le robot ne doit pas explorer l’URL en question. Le nom du spider doit être spécifié dans l’instruction « User-agent ». Il dépend de la plateforme : Googlebot pour le moteur de recherche Google et Bingbot pour Bing.

Bien évidemment, il existe d’autres directives, selon les instructions que vous souhaitez donner à l’algorithme Google : sitemap, noindex, crawl-delay, etc.

Quelle que soit la méthode que vous utilisez, vous devez impérativement procéder au test du fichier robots.txt. Cela vous permettra de vérifier qu’il n’y a aucune erreur. Le Google Search Console est un outil de test que vous pouvez utiliser en toute facilité. Pour cela, il vous suffit de vous connecter à votre compte et d’accéder à l’interface. En cliquant sur le bouton « Exploration », vous trouverez l’Outil de test du Fichier robots.txt. Il ne vous reste plus qu’à coller le contenu de votre protocole dans l’éditeur de texte et de lancer le test.

Le fichier robots.txt joue un rôle important dans le référencement naturel (SEO) d’un site web car il permet de contrôler ce que les robots d’exploration des moteurs de recherche peuvent indexer et suivre sur le site.

En limitant l’accès des robots d’exploration à certaines parties de votre site, vous pouvez empêcher certaines pages ou certains types de contenu d’être indexés, ce qui peut être utile si vous souhaitez garder certains éléments confidentiels ou si vous ne souhaitez pas que certaines pages apparaissent dans les résultats de recherche.

Cependant, il est important de noter que le fichier robots.txt ne garantit pas que les pages ou le contenu qui y sont mentionnés ne seront pas indexés ou affichés dans les résultats de recherche. Les robots d’exploration peuvent ignorer les règles du fichier robots.txt s’ils sont programmés pour le faire, ou s’ils trouvent des liens vers les pages restreintes à partir d’autres sources.

Par conséquent, le fichier robots.txt doit être utilisé avec prudence et en conjonction avec d’autres techniques de référencement naturel pour optimiser les résultats de recherche de votre site web. Il est également important de s’assurer que les parties clés de votre site, telles que les pages d’accueil et les pages de produits ou de services, sont accessibles aux robots d’exploration pour garantir une indexation optimale et une visibilité dans les résultats de recherche.

En marketing digital, le code HTTP 302 désigne une solution de redirection temporaire. Il est généralement utilisé pour réorienter les utilisateurs et les moteurs vers une nouvelle URL de votre site internet. Ce type de redirections s’utilise sur des pages web en cours de création, en refonte ou sujettes à des problèmes techniques (erreur 404 ou autre).

En d’autres termes, la mise en place des redirections 302 est une sorte d’indication aux robots des moteurs de recherche que l’ancienne page est indisponible pour une période définie. La page d’origine sera redirigée temporairement vers une nouvelle page éphémère. Cela permet d’améliorer l’expérience utilisateur.

La différence entre une redirection 301 et 302 est simple. Avec une redirection 301, la page de destination est permanente. A l’inverse, la page à rediriger est temporaire avec un code 302. Cette dernière est surtout utilisée lorsque le webmaster prévoit de revenir à l’URL Google d’origine

Les redirections 302 peuvent être mises en place pour différentes situations :

• Vous êtes sur le point de créer une nouvelle page ;
• Votre page web est en maintenance ou encore en phase de test de fonctionnalité ;
• Rediriger le trafic d’une promotion temporaire : Si vous avez une promotion temporaire ou une offre spéciale, vous pouvez rediriger temporairement les utilisateurs vers une page de promotion. Une fois que la promotion est terminée, vous pouvez supprimer la redirection 302 et renvoyer les utilisateurs à la page d’origine.
• Vous avez besoin de récolter des données sur une nouvelle page, sans impacter la popularité et le classement de la page d’origine ;
• Vous devez apporter des modifications temporaires sur le nom de domaine.

Vous pouvez vous servir de l’interface du registar. Il s’agit d’une plateforme d’enregistrement qui facilitera la gestion du nom de domaine. Vous pouvez également effectuer les modifications sur votre fichier htaccess de votre site web. Ce fichier est généralement situé à la racine de votre site web. Toutefois, cette option requiert des connaissances approfondies en programmation, au risque d’endommager votre site.

Si vous n’avez pas encore de fichier .htaccess, vous pouvez en créer un en utilisant un éditeur de texte et en enregistrant le fichier sous le nom « .htaccess » (sans les guillemets)

Comment ?

1. Ajoutez la ligne de code suivante au fichier .htaccess pour créer une redirection 302

   Redirect 302 /page-source.html https://www.example.com/page-cible.html

2. Remplacez « /page-source.html » par le chemin de la page que vous souhaitez rediriger et « https://www.example.com/page-cible.html » par l’URL de la page vers laquelle vous souhaitez rediriger les utilisateurs

3. Enregistrez le fichier .htaccess et vérifiez que la redirection fonctionne en accédant à la page source de votre site web. Vous devriez être automatiquement redirigé vers la nouvelle page cible.

Bien que cela puisse sembler une solution pratique, il y a des avantages et des inconvénients à utiliser une redirection 302 en termes de SEO (optimisation pour les moteurs de recherche).

• Maintient le ranking de la page d’origine: Lorsque vous utilisez une redirection 302, la page d’origine conserve son classement dans les résultats de recherche, car les moteurs de recherche considèrent que la redirection est temporaire.
• Contrôle sur le trafic : La redirection 302 vous permet de diriger temporairement le trafic vers une autre page sans affecter négativement le classement de la page d’origine.
• Facilité d’utilisation : Les redirections 302 sont faciles à mettre en place et à modifier en cas de besoin.

• Risque de duplication de contenu: Si vous utilisez une redirection 302 pour rediriger les utilisateurs d’une page vers une autre page avec un contenu similaire, vous risquez d’avoir du contenu en double, ce qui peut nuire à votre classement.
• Effet limité sur le référencement: Bien que les redirections 302 ne soient pas censées affecter le classement de la page d’origine, elles ne contribuent pas non plus à améliorer le référencement de la page de destination.
• Risque d’erreur: Les redirections 302 peuvent parfois être interprétées de manière incorrecte par les moteurs de recherche, ce qui peut affecter négativement votre classement.

En somme, les redirections 302 peuvent être utiles dans certaines situations, mais elles ne doivent pas être utilisées à la légère et doivent être mises en place avec prudence. Il est important de comprendre les avantages et les inconvénients de la redirection 302 avant de décider de l’utiliser pour votre site web.

• Ne pas utiliser de redirection 302 permanente : La redirection 302 est une redirection temporaire, elle ne doit donc être utilisée que pour des situations temporaires. Si vous utilisez une redirection 302 pour rediriger une page de manière permanente, vous risquez de perdre le classement de la page d’origine et de nuire à votre référencement.
• Rediriger trop de pages : Si vous redirigez trop de pages avec une redirection 302, cela peut indiquer aux moteurs de recherche que vous essayez de manipuler votre classement. Évitez donc de rediriger des pages inutilement ou en grande quantité.
• Utiliser la redirection 302 pour dissimuler du contenu en double : Si vous utilisez une redirection 302 pour cacher du contenu en double, cela peut être considéré comme une technique de spamming et peut entraîner des pénalités pour votre site web.
• Ne pas mettre à jour les liens internes : Si vous utilisez une redirection 302 pour rediriger les utilisateurs d’une page vers une autre page, il est important de mettre à jour les liens internes de votre site web pour éviter les liens cassés.
• Ne pas suivre les recommandations des moteurs de recherche : Les moteurs de recherche ont des directives pour les redirections, il est donc important de suivre leurs recommandations. Par exemple, Google recommande d’utiliser la redirection 301 pour les changements de page permanents.

En résumé, il est important de comprendre les conséquences potentielles de l’utilisation d’une redirection 302 et de l’utiliser judicieusement pour éviter toute pénalité de référencement. Il est également important de mettre à jour les liens internes de votre site web pour éviter les liens cassés.

Au fil des différentes mises à jour, votre site internet peut subir divers changements. Il peut s’agir d’un changement de nom de domaine, d’une suppression de pages web, de la création d’une nouvelle page ou tout simplement d’une URL Google cassée. Dans ce genre de situation, il est important de mettre en place une redirection. Celle-ci se décline sous différentes formes. Dans cet article, parlons principalement de la redirection 301.

Le code 301 fait référence à une redirection web permanente (moved permanently). En d’autres termes, il indique aux moteurs de recherche que la page en question (URL A) a été déplacée vers une nouvelle URL (URL B). Lorsque l’internaute se rend sur l’ancienne URL, il sera automatiquement redirigé vers l’URL B, sans s’en rendre compte.  

Attention à ne pas confondre la redirection 301 et la redirection 302. Cette dernière consiste à rediriger une page de façon temporaire.

Le principal objectif d’une redirection 301, c’est d’optimiser l’expérience utilisateur. En effet, ce type de redirection permet de fluidifier la navigation web et d’accéder rapidement au contenu désiré.

C’est un moyen de notifier les robots des moteurs de recherche en cas de changement d’adresse, de refonte de site, de duplicate content, de contenu obsolète, de migration d’un site http vers HTTPS, mise en place du protocole https ou autre modification mineure sur le nom de domaine. La redirection 301 permet également aux propriétaires de site e-commerce d’indiquer au navigateur web qu’un produit n’est plus disponible en stock. La redirection 301 est aussi une solution pour éviter les erreurs 404 et les pénalités Google.

La redirection 301 est un élément indissociable du référencement naturel. En effet, elle permet de conserver la qualité d’indexation (transmet le PageRank) acquise par l’ancienne page. Elle assure ainsi une transition sans la moindre perte de trafic naturel.

La redirection est une meilleure alternative que la balise canonicale. D’ailleurs, Google encourage cette option s’il s’agit d’une situation permanente.

La redirection 301 peut se faire via Google Search Console ou depuis le code HTML de la page concernée. Il est possible de passer par WordPress ou d’agir sur le fichier htaccess.

Ce fichier de configuration est utile pour toute modification portant sur le fonctionnement du serveur. Il vous suffit de vous rendre à la racine de votre site. Ce genre de démarche doit être effectué par un expert, puisque la moindre erreur de modification peut avoir des conséquences considérables sur votre site.

Cette solution est uniquement envisageable pour les redirections 301 entre pages. Il vous suffit de vous rendre sur votre tableau de bord WordPress et d’aller dans « Extensions ». Suivez les instructions jusqu’à l’option « Ajouter une redirection ».

Quel que soit la méthode choisie, vous devez vous assurer que la création d’une redirection est utile et légitime. Pensez à collecter les données liées à vos liens. Cela est d’autant plus important si vous devez prévoyez de rediriger plusieurs URL.

L’élaboration et la mise en place d’une stratégie SEO requiert des compétences techniques approfondies. Cela demande également un minimum de connaissances sur l’univers digital, le community management et tout ce qui s’y rapporte. Une stratégie de référencement solide permet d’augmenter l’audience de votre site, d’optimiser l’expérience utilisateur, de générer des leads qualifiés et surtout de répondre aux exigences de l’algorithme Google.

Pour ce genre de tâches, il est recommandé de faire appel à un professionnel du référencement. Comment fonctionne le métier de référenceur ? Quelles sont ses qualifications ? Voici tous les détails.

Un référenceur SEO est un expert chargé d’améliorer la visibilité d’un site internet sur les moteurs de recherche. A mi-chemin entre un webmaster et un trafic manager, il s’occupe de toutes les actions nécessaires pour assurer le bon positionnement d’un site internet dans les pages de résultats de recherche Google. Pour faire plus simple, il maîtrise toutes les spécificités techniques de Google. En règle générale, ce genre de spécialiste peut travailler en free-lance ou être au service d’une agence web.

Un référenceur SEO est chargé de concevoir et de suivre la stratégie de search engine optimization d’une marque. Pour y parvenir, il doit passer par des étapes importantes

Pour bien référencer des sites dans les résultats de recherche Google, le référenceur web crée un brief afin de comprendre toutes les spécificités du site. Il évalue également les attentes de la marque, l’image que celle-ci souhaite véhiculer et le public cible.

Selon les données récoltées, il met en place toutes les actions nécessaires à la stratégie de référencement naturel SEO. Il propose différentes solutions techniques :

• Travail du contenu : choix des mots-clés et du champ sémantique, hiérarchisation du contenu, ancres de lien, lexique, etc. ;
• Mise en place du netlinking : choix des liens, évaluation de la qualité des liens du site en question et d’autres sites liés à celui-ci, etc. ;
• Evaluation de l’expérience utilisateur.

Outre le référencement sur les moteurs de recherche, cet expert peut aussi s’occuper de votre positionnement sur les réseaux sociaux.

Le référenceur SEO doit être à l’affût de chaque mise à jour de l’algorithme Google. Il se sert de Google search console pour contrôler le trafic de votre site et surveiller le classement de vos pages sur les SERP. Le search console fournit toutes les informations essentielles dans les bonnes décisions. Il aide le référenceur à établir les prochaines stratégies à mener ou les modifications à effectuer. Il maîtrise également toutes les fonctionnalités de google analytics. Cet outil lui permet d’étudier au mieux le comportement des internautes qui explorent votre site. C’est un excellent moyen de mesurer le ROI des actions webmarketing menées. Cette étape consiste également à surveiller les concurrents directs et les sites mis à jour.

Un bon référenceur SEO est doté d’un véritable esprit d’analyse et de solides compétences dans la gestion de projet. Il maîtrise tous les outils mis à disposition par Google pour le référencement.

Si vous souhaitez devenir référenceur SEO, voici quelques étapes que vous pouvez suivre :

• Acquérir des connaissances de base : avant de vous lancer dans le référencement, vous devez avoir une bonne compréhension du fonctionnement des moteurs de recherche, des algorithmes de classement, des mots-clés et des outils d’analyse de données. Il existe de nombreuses ressources en ligne pour apprendre les bases du référencement.
• Suivre des formations spécialisées : pour approfondir vos connaissances, vous pouvez suivre des formations en ligne ou en présentiel. Il existe des formations de différents niveaux, allant de l’initiation à l’expertise.
• Acquérir de l’expérience pratique : pour devenir un bon référenceur SEO, il est important d’acquérir une expérience pratique. Vous pouvez commencer par travailler sur votre propre site web ou offrir vos services à des amis ou à des petites entreprises.
• Se tenir informé des évolutions : le référencement est un domaine en constante évolution, il est donc important de se tenir informé des dernières tendances et des évolutions de l’industrie. Vous pouvez suivre des blogs et des forums spécialisés, ainsi que participer à des événements de l’industrie.
• Développer des compétences en communication : en tant que référenceur SEO, vous devrez travailler en étroite collaboration avec des équipes de développement, des designers, des rédacteurs et d’autres professionnels du marketing. Il est donc important de développer des compétences en communication et en collaboration.

En suivant ces étapes, vous pourrez acquérir les compétences nécessaires pour devenir un référenceur SEO compétent et efficace. Il est important de garder à l’esprit que le référencement est un domaine en constante évolution et qu’il faudra continuer à apprendre et à s’adapter aux changements pour réussir à long terme.

Le salaire d’un référenceur SEO varie en fonction de plusieurs facteurs, notamment l’expérience, le lieu de travail, la taille de l’entreprise et le niveau de responsabilité. En général, les référenceurs SEO débutants peuvent s’attendre à un salaire annuel compris entre 25 000 et 35 000 euros, tandis que les référenceurs SEO plus expérimentés peuvent gagner entre 35 000 et 50 000 euros par an.

Dans les grandes entreprises ou agences de référencement, les salaires peuvent atteindre des niveaux plus élevés en fonction du niveau de responsabilité et de l’expertise technique. Les professionnels ayant une expérience de plusieurs années dans le domaine peuvent gagner des salaires allant jusqu’à 60 000 euros ou plus.

Il est important de noter que ces chiffres sont des estimations et que les salaires réels peuvent varier en fonction de plusieurs facteurs, tels que les compétences techniques, la performance, les certifications, la notoriété et les compétences en communication.