L’affiliation marketing est une tactique commerciale où des entreprises versent des commissions à des partenaires, ou affiliés, pour la promotion et la vente de leurs produits ou services en ligne. Les affiliés, qui peuvent être des sites web spécialisés ou des personnalités influentes, utilisent des liens ou bannières pour diriger leur audience vers les offres de l’entreprise. En retour, ils perçoivent une rémunération basée sur les résultats, tels que les achats ou inscriptions.

Ce système de marketing par résultats est comparable à la fonction d’apporteur d’affaires dans le secteur traditionnel et est adopté par des entreprises de toutes tailles, de géants comme Amazon à des entrepreneurs individuels, cherchant à élargir leur base de clients de manière efficace et mesurable.

Dans le domaine de l’affiliation marketing, quatre acteurs principaux interagissent : l’annonceur, l’affilié, le consommateur, et la plateforme d’affiliation.

1. L’annonceur, souvent créateur ou vendeur, initie la stratégie d’affiliation. Il peut s’agir d’une start-up innovante ou d’une multinationale établie cherchant à promouvoir et vendre ses produits ou services via des tiers. En échange d’une commission, il délègue la vente de ses articles physiques ou de ses prestations de services à des partenaires extérieurs. Cette collaboration n’implique pas que l’annonceur soit le fabricant original du produit.
2. L’affilié, souvent désigné comme éditeur, joue un rôle clé dans ce dispositif. Il utilise une multitude de techniques de marketing digital pour mettre en avant les produits de l’annonceur, touchant ainsi une audience ciblée. Il peut être un blogueur, un propriétaire de site web, ou un influenceur sur les réseaux sociaux, et est choisi pour sa capacité à générer du trafic pertinent pour la marque.
3. Les réseaux d’affiliation sont les plateformes qui connectent commerçants et affiliés. Ils fournissent les outils nécessaires pour tracer les conversions, gérer les commissions et simplifier les transactions financières, agissant comme des facilitateurs dans l’écosystème de l’affiliation.
4. Au centre du processus, le consommateur, le destinataire final de toutes ces actions de marketing. Sa décision d’acheter, de remplir un formulaire ou simplement de cliquer est le résultat final recherché par l’affiliation marketing, une démarche de plus en plus intégrée au e-commerce.

Les programmes d’affiliation, divers et variés, reposent sur différents modèles de rémunération comme le Pay Per Click ou Pay Per Sale, souvent désignés par leur coût. Les plus courants sont :

• Pay-per-Sale (PPS) : l’affilié perçoit une commission pour chaque vente issue de son lien.
• Pay-per-Click (PPC) : l’affilié est payé pour chaque clic sur le site de l’annonceur, même sans vente.
• Pay-per-Lead (PPL) : la rémunération est attribuée pour l’acquisition de prospects, par exemple via une inscription.

Les structures de commissionnement peuvent être fixes, où l’affilié reçoit un montant déterminé par action, ou variables, fluctuant selon le volume de ventes ou le profil des clients. Ce système flexible permet à l’annonceur de définir les termes adaptés à ses objectifs et au marché cible, optimisant ainsi l’efficacité de sa stratégie marketing.

Pour optimiser la gestion de l’affiliation, les plateformes spécialisées offrent des outils pour tracer les transactions entre l’affilié et l’acheteur, essentiels pour la répartition des commissions.

• Pour les sites sous CMS WordPress, des extensions comme WordPress Affiliate Platform ou Affiliate Pro sont disponibles.
• Sur Shopify, on privilégie Refersion, LeadDyno ou Omnistar.
• D’autres plateformes peuvent se tourner vers des solutions telles que Gumroad ou Digital Product Delivery, facilitant la création de partenariats d’affiliation.

Les affiliés recommandent les produits ou services de l’annonceur, attirant leurs visiteurs vers les sites marchands via des liens trackés, souvent par cookies, permettant de mesurer l’impact de leur promotion. L’utilisation d’une plateforme d’affiliation n’est pas impérative mais elle simplifie le processus en formalisant les relations, en gérant les liens et en fournissant des analyses détaillées.

Des acteurs majeurs comme Awin, Commission Junction ou Lemonads dominent le marché, tandis que certains annonceurs, tels qu’Amazon ou Google avec Adsense, gèrent leurs propres systèmes d’affiliation. D’autres services comme Systeme.io, ActiveCampaign, Sendinblue, Wix et Canva proposent également leurs programmes, témoignant de la diversité des options disponibles dans l’écosystème de l’affiliation.

Les avantages du marketing d’affiliation pour les annonceurs comprennent :

• Augmentation de la notoriété: Les produits ou services gagnent en visibilité grâce aux différents canaux des affiliés.
• Croissance des ventes: Incitation des consommateurs à l’achat via les recommandations des affiliés.
• Partenariats durables: Construction de relations à long terme avec les affiliés pour des bénéfices mutuels.
• Coûts réduits: Économie sur les dépenses publicitaires, paiement sur la base de la performance.
• Nouveau canal de vente: Expansion du marché sans investissements publicitaires lourds.
• Retour sur investissement: Les paiements sont effectués pour les résultats concrets, ce qui optimise le ROI.

Pour les affiliés, les avantages incluent :

• Démarrage à faible coût: Pas besoin d’investissement initial conséquent pour commencer.
• Monétisation du trafic: Capacité de générer des revenus à partir de l’audience existante d’un site web ou réseau social.
• Revenus complémentaires: Source de revenu passive selon la capacité de convertir le trafic en ventes.
• Flexibilité: Liberté de travailler à son propre rythme et selon ses propres stratégies marketing.
• Innovation de contenu: Opportunité de créer du contenu attractif et pertinent autour des produits promus.

Google a mis en place des règles strictes dans le cadre du référencement naturel. Désormais, les « bots » ou robots d’indexation sont aptes à détecter tout ce qui est considéré comme du spam agressif (bourrage de mots clés, génération automatiquement de contenu, liens entrant de mauvaise qualité, etc.). Ils ont la capacité de repérer les résultats automatisés ou encore les contenus enfreignant les guidelines établis. Dans le langage Google, on ne parle pas de pénalité, mais plutôt d’action manuelle. De quoi s’agit-il ? En quoi est-ce important ? Voici tout ce qu’il faut savoir sur ce terme technique.

Avec le nombre de pages créés chaque jour, un propriétaire de sites doit établir une stratégie pour se démarquer et profiter d’une visibilité optimale sur la toile. Pour y parvenir, certains webmasters adoptent des pratiques allant à l’encontre des recommandations de Google. En plus d’impacter négativement l’expérience utilisateur, les spams générés empêchent les sites conformes aux exigences de Google d’être bien positionnés dans les résultats de recherche (SERP). Pour résoudre le problème de fraude, Google a mis en place des sanctions appelées « actions manuelles ».

L’action manuelle en SEO est une sorte de pénalité mise en place par Google. A la différence de Penguin ou de Panda, elle est mise en œuvre manuellement par une équipe physique d’ingénieurs. Chaque contenu frauduleux est envoyé au webmaster de Google.

Il peut s’agir :

• d’une tactique de black hat SEO notamment contenu masqué,
• d’un duplicate content,
• d’un contenu de mauvaise qualité
• d’un bourrage de mots clés
• spam généré par l’utilisateur à travers des forums
• de liens payants toxiques,
• d’une mauvaise utilisation des données structurées
• spam de lien vers votre site
• d’un cloaking et de redirections douteuses

La page affectée par une action manuelle peut être sujette à une désindexation ou d’une baisse de classement. La pénalité infligée selon l’ampleur de la violation peut être une désindexation partielle ou totale. Retrouvez les raisons de google pour invoquer des actions manuelles. 

Il se peut qu’un site reçoive une action manuelle par erreur. Dans ce cas, il est possible de procéder à une demande de réexamen via google search console. Pour ce faire, il faut fournir des explications pertinentes sur l’erreur en question. Les experts de Google examinent votre demande et s’assurent que le problème est parfaitement résolu.

Les données structurées action manuelle est une pénalité appliquée lorsque vous tentez de les détourner pour un meilleur positionnement. En effet, Google sanctionne les actions mises en place résultats de recherche Google.

Il existe différentes solutions permettant d’éviter les actions manuelles :

• Eviter les manipulations allant à l’encontre des directives de Google. En effet, Google pénalise le bourrage de mots-clés et les fermes de liens. C’est pourquoi il est important de s’actualiser aux nouvelles exigences du moteur de recherche ;
• Miser sur un contenu unique, pertinent, riche et de qualité. Il ne faut pas hésiter à enrichir régulièrement le contenu d’un site ;
• Il est également conseillé de configurer les alertes d’action manuelle pour être averti instantanément. Il suffit de se rendre sur Google Search Console;
• Contacter Google pour demander des explications supplémentaires sur ses exigences et ses critères d’indexation ;
• Faire appel à une agence SEO, que ce soit pour la création ou la refonte d’un site web.

Pour éviter une action manuelle, respectez bien les consignes de qualité que vous retrouvez sur https://developers.google.com/search/docs/essentials?visit_id=638085319382355146-430226836&rd=1#quality_guidelines

Après avoir examiné pourquoi votre site a été pénalisé manuellement et corrigé les problèmes détectés, vous êtes sur le point de retrouver votre visibilité et votre trafic. Vous devez revenir au rapport d’action manuelle et appuyer sur le bouton « Demander un examen ». Cela vous permettra de soumettre une demande de réexamen et d’informer Google que toutes vos erreurs et oublis ont été corrigés et que votre site est prêt à reprendre la lecture. Rappelez-vous, ne demandez pas d’examen tant que la réparation n’est pas terminée.

Google est connu pour anticiper la force, et se précipiter n’accélérera pas la pénalité de suppression. Qu’est-ce qui devrait être inclus dans une demande de réexamen appropriée ? Vous pouvez essayer de penser comme l’avocat de votre site Web lorsque vous déposez une demande de réexamen. Il est de votre responsabilité d’informer et de convaincre Google que toutes les violations des directives ont été corrigées. Ensuite, vous devez convaincre Google que vous ne ferez pas les mêmes erreurs et éviterez les pratiques inutiles à l’avenir.

Pour cela, vous devez fournir des preuves appropriées pour assurer votre succès. Voici quelques exemples de détails que vous pourriez souhaiter inclure :

Une liste des sites Web que vous avez contactés pour nettoyer votre profil de liens,

Si les informations sont exactes, cela signifie que l’agence de référencement que vous avez engagée a utilisé des méthodes contraires à l’éthique, vous mettez donc fin à la coopération,

Si elles sont exactes, les informations qui ont enfreint les directives sont le résultat d’erreurs commises par votre personnel, alors vous avez mis en place un programme de formation en référencement naturel,

Si elles sont exactes, les informations et les violations du site que vous venez d’acheter sont le résultat d’actions du propriétaire précédent que vous n’avez pas l’intention de répéter.

• Inclure autant de détails que possible dans la demande de réexamen est, bien sûr, une bonne intuition. Quelle que soit la quantité de matériel dont vous disposez, essayez d’inclure toutes les informations dans le fichier TXT de votre demande. Vous pouvez également inclure un lien vers Google Docs ou Google Sheet.
• Les liens vers d’autres endroits peuvent ne pas être ouverts car les demandes de réexamen sont lues par des salariés de Google est préoccupé par la sécurité de leurs données.
• Le ton que vous utilisez compte. Bien que vous puissiez vous sentir traité injustement après certaines actions manuelles, il est préférable de chercher des solutions plutôt que de discuter. Il ne sert à rien qu’un joueur expulsé du terrain se dispute avec l’arbitre.

Après avoir examiné votre demande de réexamen, une personne en charge du dossier de votre site Web souhaitera enquêter sur les pages affectées par l’action manuelle. Enfin assurez-vous donc qu’elle n’est pas empêchée d’explorer le fichier robots.txt.

Dans le langage Google, l’analyse temporelle des liens ou ATL sert à évaluer la quantité de liens acquis par rapport à la croissance d’un site. Pour faire plus simple, cela consiste à analyser combien de nouveaux liens votre site a-t-il obtenu sur une période définie. Google a mis en place cette fonctionnalité pour détecter les stratégies de backlinks frauduleuses. Une croissance non naturelle de votre profil de liens peut ainsi vous conduire à une pénalité.  

Pour l’analyse temporelle des liens, les robots de Google prennent en compte différents éléments :

• La date à laquelle votre page a été créée ;
• La dernière date à laquelle votre page a subi des modifications ;
• La date à laquelle votre page a disparu ;
• La date à laquelle vous avez créé de nouveaux liens ;
• La date à laquelle les liens ont disparu.

Pour qualifier une page d’obsolète, Google se base sur les critères de l’analyse temporelle des liens. Si la majorité des liens entrants insérés dans vos pages ne sont plus valides, votre site peut être considéré comme « en fin de vie ». Google dévalue ce genre de site, ce qui peut être fatal pour votre stratégie SEO. Pour optimiser la qualité de votre site, assurez-vous qu’il n’y ait aucune page inactive. Vous devez également penser à garder des liens récents. C’est pourquoi vous devez prendre le temps d’effectuer une mise à jour régulière de votre site.

La mise en place d’une stratégie de netlinking est une étape complexe qui requiert beaucoup de patience et de rigueur. Il s’agit surtout d’un processus particulièrement délicat, puisque le moindre faux pas peut être sanctionné. Pour éviter les actions manuelles, votre site doit être le plus naturel possible. Cela est d’autant plus important s’il s’agit d’un site récent.

Pour paraître le plus naturel possible aux yeux des robots Google, vous devez lisser l’obtention des liens dans le temps. Il est préférable d’acquérir une dizaine de liens sur une période de 10 mois que d’acquérir la même quantité de liens en moins d’une semaine. En d’autres termes, Google pénalise les progressions anormales de liens. Dès qu’il remarque un pic de liens, il peut immédiatement signaler votre site comme étant non-pertinent. Une croissance de liens peut être qualifiée d’anormale lorsqu’un site obtient une grande quantité de liens dans un court délai.

Pour répartir l’obtention des liens d’une manière optimale, constituez un tableau de suivi des liens. Cela vous permettra de suivre au mieux votre niveau de croissance. Vous pouvez aussi conclure un arrangement avec vos sites partenaires, si besoin. Si vous ne maîtrisez pas le sujet, faites appel à un expert en SEO. Celui-ci saura vous orienter vers les options les plus intéressantes, conformément aux exigences de Google. Prenez le temps d’auto-évaluer votre stratégie de netlinking pour définir les blocages et entreprendre les mesures adaptées.

Souvent négligée, la notion d’ATL occupe pourtant une place importante dans une stratégie de référencement naturel. Cela est valable, tant pour un blog, un site e-commerce ou encore un site vitrine.

L’algorithme de Google se définit comme un ensemble de calculs analytiques qui s’applique à une page web. La mise en place de ces formules mathématiques permet au moteur de recherche d’évaluer facilement la qualité de contenu d’un site internet. Doté d’une intelligence artificielle, l’algorithme Google est responsable du positionnement d’une page dans un résultat de recherche. Pour hiérarchiser une recherche Google, il se base sur de nombreux critères. Il subit une mise à jour régulière en fonction du comportement des internautes. Cela se traduit par l’ajout de nouveaux calculs ou la révision des formules existantes.

Pour optimiser la notoriété d’un site, il est important de le positionner sur la première page Google lorsqu’un internaute effectue une recherche. Toutefois, cela requiert un travail de longue haleine sur les bases du SEO. Pour y parvenir, l’algorithme de Google exige la prise en compte de différents éléments, à ne citer que la vitesse de chargement, la pertinence du contenu, la mise en place d’un maillage de qualité, etc.

A partir des informations collectées par les bots, ces programmes automatisés appelés spiders ou crawlers parcourent le Web, se déplaçant de lien en lien et créant une page d’index qui inclut certains mots-clés. Google fait référence à cet index lorsqu’un utilisateur saisit une requête de recherche. Les moteurs de recherche répertorient les pages contenant les mêmes mots-clés que ceux inclus dans les termes de recherche de l’utilisateur. Les araignées de Google peuvent également avoir des capacités plus avancées, telles que la capacité de déterminer la différence entre une page Web avec un contenu réel et un site de redirection – une page qui existe simplement pour rediriger le trafic organique vers une autre page Web différente.

La caractéristique la plus importante de l’algorithme de Google est sans doute le système PageRank , un processus automatisé breveté qui détermine où chaque résultat de recherche apparaît sur la page de retour du moteur de recherche de Google.

L’algorithme Google se décline sous différentes formes. Certaines formules ont pour but de classer les données. D’autres sont vouées à repérer les méthodes SEO allant à l’encontre du moteur de recherche. Les pages non conformes (bourrage de mots clés) ou de faible qualité sont soumises à une action manuelle (pénalité Google contre les spams).

Au fil des ans, Google a eu de nombreux changements d’algorithmes, dont beaucoup ont des noms et plusieurs versions, notamment Boston, Caffeine, Cassandra, Dominic, Esmerelda, Fritz, Florida, Austin, Brandy, Allegra, Bourbon, Gilligan, Jagger, Big Daddy, Buffy, Dewey, Panda et Pingouin. En 2013, l’algorithme Hummingbird a été une mise à jour majeure afin de fournir des résultats plus ciblés aux utilisateurs. 

L’algorithme de Google fait l’objet d’une étude constante autour de Google puisque plus nous en avons de connaissance, plus grande est la possibilité de positionner notre site web dans les premiers résultats de recherche. Il est très difficile de connaître en profondeur le fonctionnement de celui-ci mais néanmoins, il existe certains facteurs que nous connaissons qui l’influencent de manière significative :

• Mots-clés : les mots-clés sont l’un des axes fondamentaux du positionnement puisqu’ils indiquent à l’algorithme sur quels sujets traite notre contenu et le positionne en fonction de celui-ci. C’est pourquoi il est important que nous incluions des balises avec des méta title qui incluent nos mots-clés pour lesquels nous voulons nous positionner.
• Qualité du contenu : Google récompense que notre contenu soit le plus original et naturel possible, et en même temps qu’il soit de qualité, c’est-à-dire qu’il n’ait pas de fautes d’orthographe, qu’il soit riche sémantiquement, qu’il répond aux questions des internautes, etc.
• Expérience utilisateur UX sur le site Web : la page Web de destination doit être aussi optimisée que possible, que la vitesse de chargement est rapide, qu’elle est réactive pour tous les types d’appareils (mobile, desktop, tablette), qu’elle a un plan du site ou que l’architecture de celle-ci est bien organisée.

Retrouvez comment les résultats de recherche sont-ils générés automatiquement ?

A l’origine, il s’agissait d’un filtre et non d’un algorithme à part entière. Il visait surtout à lutter contre les techniques SEO frauduleuses, également connues sous le nom de spam ou black hat. Celles-ci regroupent l’utilisation abusive des mots-clés, le cloaking, l’abus de liens entrants, le duplicate content, etc.

Les pénalités Penguin ne s’appliquent pas à un site, mais plutôt à une page. La page web affectée sera toujours indexée. Par ailleurs, elle perdra sa visibilité sur les SERP. Pour savoir si une page est pénalisée par Google Penguin, il faudra évaluer fréquemment l’URL, les expressions utilisées et les backlinks. Il est possible de s’appuyer sur l’outil Google Search Console. Certains experts SEO ont également développé des outils de suivi personnalisés pour éviter et détecter ce genre de problématique.

Créé en février 2011, Google Panda fait partie des algorithmes les plus puissants du moteur de recherche. Il est principalement concentré sur la qualité du contenu. Entre autres, il permet de détecter la duplication de contenu volontaire, le plagiat ainsi que le spinning. Ce dernier consiste à générer du contenu à travers la paraphrase.

En ce sens, l’algorithme Google Panda vise à traquer toutes ces pratiques frauduleuses. Comme Google Penguin, il s’agissait d’un filtre avant d’intégrer la catégorie des algorithmes proprement dits. Google Panda connaît des mises à jour régulières, à raison d’au moins 1 fois par semaine. Pour proposer des résultats google panda, il faut proposer des contenus pertinents, éviter de répéter les informations inutiles, privilégier les contenus uniques, enrichir les champs sémantique et lexical, optimiser les temps de chargement, etc.

Cet algorithme Google se concentre plutôt sur le référencement local, que ce soit sur Google Maps ou encore dans les résultats de recherche classiques. Grâce à Google Pigeon, les résultats de recherche des internautes sont beaucoup plus pertinents. Désormais, les experts SEO doivent prendre en compte la localité cible dans leur stratégie de référencement. Google Pigeon agit également sur l’adresse des professionnels, les noms de domaine, les backlinks, etc.

Google Colibri vise également à optimiser la pertinence des résultats de recherche. Entre autres, il permet une meilleure interprétation des requêtes des internautes. Cet algorithme est capable d’analyser le sens des mots, les synonymes, les différentes expressions, etc. Il prend également en compte le choix des mots clés utilisés pour le référencement d’un site.

L’ymyl your money your life désigne les pages abordant des sujets de la santé, la finance ou encore la sécurité. Il s’agit notamment des pages de transaction commerciale, d’informations financières, d’informations juridiques, d’actualité, etc. En règle générale, une page YMYL peut avoir une influence considérable sur l’internaute. Ce terme est traduit comme « Votre argent, votre vie ». L’algorithme Google traite ces pages d’une manière différente, puisqu’elles sont considérées comme sensibles.

L’Alt text, également connu sous le nom de text attribute ou d’alt tag, se définit comme la description de l’image aux visiteurs malvoyants. Intégré au code HTML, la description alt de l’image du site est uniquement accessible aux moteurs de recherche. Entre autres, l’ajout du texte alternatif permet aux bots de mieux cerner le contenu de l’image et proposer des réponses plus pertinentes aux requêtes des internautes.

Le texte alternatif facilite la transmission des données par les lecteurs d’écran, notamment en l’absence de titres. Il permet également aux internautes d’accéder à une description textuelle dans le cas où le navigateur n’arrive pas à afficher l’image en question. En ce sens, une image avec un texte alternatif vide est considérée comme non pertinente aux yeux des moteurs de recherche.

L’ajout du texte alternatif aide les robots de Google dans leur processus de vérification et d’indexation :

• Grâce à l’Alt text, Google peut cerner ce que l’image contient. En ce sens, il peut évaluer si celle-ci correspond ou non au contenu de la page ;
• La balise alt permet également aux moteurs de recherche de vérifier si l’image d’une page web est pertinente face à une requête spécifique ;
• A ce jour, l’algorithme de Google est capable de définir le sens d’une image, qu’il s’agisse d’une image décorative, d’un objet, d’une personne, d’une image marketing ou autre. Toutefois, la présence d’un texte alternatif permet d’accélérer le processus d’indexation et de positionnement d’une page.

Pour insérer une description alternative dans un code HTML, il faudra se servir de l’attribut. Voici un exemple : <img src=¨rix.png¨ alt=¨ riz gluant asiatique¨>

Les moteurs de recherche ne s’arrêtent pas à la simple présence d’une description imag src. Ils évaluent également la qualité du text attribute. Pour cela, ils prennent en compte quelques éléments :

• La description : il faudra utiliser des noms, des verbes, des adjectifs et des adverbes pertinents pour décrire une image. Ceux-ci doivent tourner autour d’un mot clé principal. La description ne doit pas dépasser les 125 caractères, soit une ou deux phrases ;

La clarté du texte : Google pénalise le bourrage de mots-clés par l’action manuelle. Visez uniquement le mot clé cible et éviter tout ce qui peut être superflu pour ne pas embrouiller google image lecteurs d’écran.

Le code HTML identifie déjà votre image ou image en tant que telle, évitez donc d’utiliser ces mots et de prendre de la place au début de votre texte alternatif.  Si l’image ajoute du contexte d’une manière ou d’une autre, mentionnez de quel type d’image il s’agit , comme un tableau, un graphique, une illustration, une capture d’écran, une photo du visage ou autre.

Si cela a du sens, incluez des mots-clés ou des phrases dans le texte alternatif de votre image pour booster le référencement. Cependant, n’en faites pas trop. Vous voulez éviter la surcharge ou le bourrage de mots-clés, car cela peut avoir un impact négatif sur votre classement. Concentrez-vous sur la façon de décrire l’image avec précision et précision, et si le mot-clé correspond à cette description, utilisez-le. L’utilisation de mots-clés rappelle à vos lecteurs pourquoi cette image particulière est incluse et comment elle se rapporte au contenu lui-même.

Les légendes d’image et le texte alternatif sont deux éléments différents, et les deux peuvent ajouter de la valeur. Trouvez un moyen de composer chacun d’entre eux afin que, ensemble, ils fournissent à votre lecteur une description plus complète à la fois de l’image et de la raison pour laquelle elle apparaît avec le contenu.

• Ne faites pas de fautes d’orthographe
• Ne pas inclure un texte alternatif pour des images décoratives

Certaines images sont mieux sans texte alternatif, comme les images purement décoratives. Les images décoratives sont des images utilisées pour décomposer visuellement le contenu d’une page ou pour rendre la page plus jolie. Ils ne contiennent aucune signification ou contexte significatif lié à la page et sont purement décoratifs. Dans la mesure du possible, incluez le mot « null » dans les champs de texte alternatif afin que les lecteurs d’écran les ignorent.

Dans certains cas, une image nécessitera une description plus longue afin de la décrire efficacement et de transmettre le contexte qui l’entoure.

Dans ces cas, vous pouvez utiliser l’attribut  » longdesc=  » et fournir un lien pour emmener le lecteur ailleurs pour une explication complète.

Si votre image est celle d’un bouton, inclus comme un moyen pour un spectateur de soumettre ou de cliquer pour plus d’informations, vous devez inclure un texte alternatif qui leur indique le but du bouton. Ce placement de texte alternatif est particulièrement important pour les lecteurs d’écran et lorsque les images ne se chargent pas.

En règle général, l’ajout d’un texte alternatif est obligatoire pour faciliter l’expérience des utilisateurs de lecteurs. Toutefois, il existe quelques exceptions où il est préférable de laisser le champs vide, notamment :

• Lorsque certaines images reviennent à plusieurs reprises ;
• Lorsque vous devez insérer une icône : cela permet d’éviter les redondances ;
• Lorsque vous avez affaire à une image avec un lien ;
• Lorsque vous devez insérer les logos au niveau de l’entête.

L’AMP ou Accelerated Mobile Pages open source project est un format de publication digitale mis en place par Google pour optimiser l’expérience utilisateur. Il aide les webmasters à accélérer le processus de création de pages web sur mobile. Google AMP project permet également d’optimiser la navigation sur mobile. Mis en place en février 2016, ce projet est, à ce jour, bien plus prisé que le format classique. Il permet aux mobinautes d’accéder plus facilement aux contenus web et aide les sites internet à optimiser leur visibilité dans les résultats de recherche.

Comme son nom l’indique, l’AMP ou Accelerated Media Page désigne une page qui se charge plus rapidement que le format classique. Le format AMP est uniquement disponible sur mobile et sur tablette. Elle se caractérise par une URL différente des URLs habituels. Elle est facilement reconnaissable par un petit icône en forme d’éclair près de l’URL. Par rapport aux autres pages,le fait de créer des pages AMP permet de gagner en visibilité sur les résultats de recherche AMP HTML. D’ailleurs, la majorité des pages affichées au format AMP sont positionnées dans les premières lignes des SERP.

Toutefois, Google exige que les contenus des pages utilisant AMP et celles utilisant HTML soient les mêmes. Cela est valable pour les articles de blogs, les sites e-commerce, les sites vitrines, etc. Les pages créées à l’encontre des recommandations mises en place peuvent être pénalisées. N’hésitez pas à vous informer régulièrement sur les nouvelles exigences de Google.

Utiliser le format AMP offre des avantages considérables, que ce soit pour les webmasters ou les internautes.

La lenteur de chargement des pages fait partie des principales raisons pour lesquelles les internautes quittent une page. Grâce aux pages mobiles accélérées, les textes se chargent de manière instantanée. En effet, Google précharge les pages version AMP au niveau de ses serveurs avant de les proposer sur les SERP.

En utilisant AMP, vous offrez aux internautes une navigation beaucoup plus fluide, qu’il s’agisse d’un site WordPress ou autre. Les internautes pourront passer plus facilement d’un article à un autre.

La création d’une page au format AMP est excellente pour votre stratégie SEO. La validation AMP n’est pas une exigence de l’algorithme Google. Par ailleurs, les modifications effectuées pendant le processus sont pris en compte par les bots, notamment l’optimisation du temps de charge, etc. Cela vous permettra d’optimiser votre indexation et de profiter d’un meilleur rang dans les pages de résultats de recherche.

Comme pour les pages classiques, il est tout à fait possible d’accéder à vos données sur Google Search Console et Google Analytics. Vous pourrez ainsi effectuer une évaluation statistique sur l’évolution du trafic, le nombre de visites, les préférences des visiteurs en matière de format, etc. Vous pourrez ainsi établir une stratégie de veille et de développement efficace.

Les annuaires en ligne sont souvent évoqués dans les stratégies de référencement. Ils sont surtout utilisés pour optimiser une stratégie de netlinking et obtenir une meilleure notoriété dans un moteur de recherche. Mais de quoi s’agit-il ? Quels sont les différents types d’annuaires ? Comment constituer un annuaire de qualité ? Quels sont les meilleurs annuaires de référencement ?

L’annuaire web est une sorte de répertoire regroupant une sélection de sites web. Chaque site internet est présenté avec une brève description ainsi qu’un lien pointant vers sa page d’accueil. Les sites répertoriés dans un annuaire sont classés par catégorie, ce qui permet de faciliter les recherches.

Il existe trois principaux types d’annuaires de référencement :

• Les annuaires généralistes: ce type d’annuaire dispose de nombreuses rubriques permettant d’aider les internautes dans leur recherche. Il regroupe différentes variétés de sites ; exemple, indexa, faitesvousconnaire.com, choixdunet.fr, kompass, europage, etc…
• Les annuaires spécialisés : ce sont des annuaires thématiques. Ils regroupent des sites partageant le même secteur d’activité. Les internautes s’y rendent pour une recherche spécifique ; ex : Tripadvisor, l’annuaire digital ou webmarketing conseil.
• Les annuaires locaux: comme son nom l’indique, un annuaire local regroupe des sites internet partageant une même zone géographique. Il est utilisé pour un meilleur référencement local seo. Il existe de nombreux annuaires locaux célèbres comme les Pages Jaunes, yelp, justeacote.com etc.

Google a mis en place un service d’annuaire particulièrement complet, connu sous le nom de Google fiche d’établissement anciennement MyBusiness. Celui-ci permet d’être référencé directement sur la SERP et sur Google Map.

L’inscription aux annuaires de référencement est accessible à tous types de sites. Par ailleurs, il est important de respecter quelques règles pour un meilleur référencement :

• Prendre le temps de remplir la fiche entreprise : il s’agit d’une étape importante, puisqu’elle permet de recenser toutes les données essentielles sur votre activité (nom de domaine, adresse physique, numéro de téléphone, zone de chalandise, horaires, etc.). ;
• Choisir les bons mots-clés : votre consultant SEO doit sélectionner des mots-clés Ceux-ci doivent être en lien avec votre activité pour que les internautes puissent vous trouver en toute facilité. De plus, les contenus de mauvaise qualité peuvent être pénalisés par Google ;
• Varier les contenus : les textes de présentation sur les annuaires doivent être courts, clairs et concis. Privilégiez les titres impactants et accrocheurs. Vous devez également varier vos contenus pour ne pas être accusé de duplicate content ;
• Eviter les processus d’automatisation : privilégiez les méthodes d’inscription manuelles. Les validations automatiques sont payantes et augmentent les risques d’être sanctionné par Google.

Il existe des annuaires de référencement gratuits. Ceux-ci ne sont pas soumis aux validations automatiques. Pour choisir les meilleurs annuaires de référencement, basez-vous sur le trust flow. Il s’agit d’un indicateur permettant d’évaluer la qualité d’un site en matière de référencement. Vous devez également vous baser sur l’ancienneté du site. Faites uniquement confiance aux sites qui sont indexés dans Google. Il est également recommandé de s’inscrire auprès des annuaires qui effectuent une mise à jour régulière.

Les annuaires SEO, comme d’autres sites internet qui pointent vers vous et signalent votre classement de page, ont probablement un petit impact sur votre classement. Cependant, au fil des ans, il a été abusé en tant que tactique de référencement et Google pénalise les personnes qui utilisent des annuaires dédiés au référencement. Avec la montée en puissance de Penguin 4.0, beaucoup d’entre eux peuvent être ignorés.

L’attribut nofollow est une partie intégrante du codage HTML. D’un point de vue étymologique, le terme nofollow signifie « ne pas suivre ». En ce sens, les liens nofollow ont la spécificité d’empêcher Google de suivre les liens de votre page web.

Il apparaît généralement sous la forme rel=”nofollow” ou content=”nofollow”, soit <a href=http://www.nomdedomaine.com/< rel=<nofollow!>Titre du lien</a>.

La mise en place du code rel nofollow n’a aucun intérêt sur des liens internes. En revanche, cet attribut peut être utilisé sur un lien externe afin de lutter contre le spam. Cela est par exemple valable pour les commentaires de blog ou toute autre page interactive où les internautes peuvent créer librement leurs propres contenus.

Un lien nofollow ne sert à rien pour optimiser le positionnement d’un site sur les moteurs de recherche, puisqu’il n’est pas pris en compte par les Google bots.

Google recommande de mettre en place un lien nofollow pour les raisons suivantes :

• Utilisez ce type de lien s’il renvoie vers une page pauvre en contenu, contenu dupliqué ou un contenu non fiable (cela aussi valable pour les liens laissés dans un forum ou dans les commentaires) ;
• L’attribut rel sponsored peut aussi être utilisé sur des liens payants ;
• Il s’agit d’une excellente solution pour fixer des priorités d’exploration. En effet, cela évitera aux Google bots de prendre en compte une page interne que vous ne souhaitez pas indexer ;
• Utilisez la balise Nofollow si vous ne souhaitez pas être responsable du contenu vers lequel certains contenus peuvent pointer.
• Obfuscation de liens de pages non rentables ou sans valeur SEO (ex CGV, mentions légales)
• Maitriser l’e-réputation d’un site web

Les attributs de lien (rel ugc, sponsored et nofollow) indiquent les liens pris en compte dans le classement. Depuis le 1^er mars 2020, les robots de Google considèrent l’attribut nofollow comme un indice lors du processus d’indexation d’un site.

Pour optimiser votre présence digitale, il ne suffit pas de disposer d’une plateforme web. Il est important de booster votre visibilité pour apparaître dans la première page des résultats de recherche (SERP). L’algorithme de google privilégie les sites internet avec un excellent netlinking et un maillage interne pertinent. Dans la mise en œuvre de ces techniques SEO, le webmaster est amené à utiliser l’ancre de lien ou « anchor text ».

L’ancre de lien, également connu sous le nom de texte d’ancrage, est un terme fréquemment utilisé dans une stratégie SEO. Il est composé de deux mots techniques :

• Lien : faisant référence à une URL qui conduit vers une autre page web, un document PDF, ou image ou autre type de fichier. Ceux-ci sont appelés « ressources » ;
• Ancre : désignant le mot ou la partie d’un texte sur lequel on insère le lien hypertexte.

En règle générale, on parle d’ancre de lien dans les stratégies de netlinking et l’organisation des liens. Sur une page de contenu, le texte d’ancrage est facilement reconnaissable par sa mise en forme particulière. Il peut être souligné en bleu ou dans une couleur différente, en fonction CSS du site et indique aux internautes qu’il est cliquable.

La création d’une ancre de lien implique une spécification URL de la ressource en question. Pour cela, il faudra ajouter l’attribut href https à l’ancre choisi.

Les textes d’ancrage sont pensés pour rediriger les visiteurs vers vos liens internes et vis liens externes. En effet, les sites externes peuvent également pointer des liens entrants vers votre page. Voici les différents types d’ancres que vous pouvez utiliser :

• L’ancre de marque : il s’agit d’un ancrage basé sur votre nom de marque. Ce type d’ancre mène généralement vers votre site web ;
• L’ancre de mots-clés LSI (Indexation Sémantique Latente) : ce type d’ancre utilise des synonymes du mot-clé principal. Il peut être optimisé ou semi-optimisé ;
• L’ancre générique : il s’agit d’un texte neutre et non descriptif qui n’ont aucune valeur en matière de référencement direct (en savoir plus, cliquez ici, etc.). Il se peut également que l’URL de la page de destination soit directement affichée en guise d’ancrage.
• L’ancre de correspondance exacte au mot clé cible
• L’ancre de correspondance partielle : il s’agit d’associer d’autres termes au mot clé principal.
• L’ancre URL : il s’agit d’utiliser comme lien l’adresse HTTPS du site
• L’ancre image : l’ancre ne contient aucun texte. Pour accéder à la page de destination, il faut alors cliquer sur une image.

Les moteurs de recherche comme google bing yahoo ont des critères de base pour évaluer la pertinence d’un texte d’ancrage. Voici quelques conseils pour constituer votre ancre de lien et échapper aux sanctions :

• Aller à l’essentiel : une ancre de lien doit être claire, concise et parfaitement descriptive. Les internautes doivent comprendre de quoi parle la page de destination ;
• Eviter les ancres frauduleuses : désormais, les robots de Google peuvent identifier un texte d’ancrage trompeur ;
• Perfectionner votre pourcentage de correspondance : Google privilégie les ancres de correspondance exacte ou les ancres de correspondance partielle. Celles-ci offrent une meilleure expérience utilisateur comparées aux ancres aléatoires ou génériques ;
• Choisir un texte d’ancrage pertinent : en plus de choisir les bons mots, il est important que le lien corresponde au contexte de la page principale ;
• Eviter d’insérer des liens menant vers des sites toxiques ou de mauvaise qualité.
• Eviter de répéter toujours la même ancre

Voici les proportions d’ancres de liens à respecter pour plaire aux algorithmes de Google :

• 40 % d’ancres de lien dites « ancres de branding », en rapport avec votre marque ou votre site web ;
• 30 % d’ancres de liens dites « élargies » ;
• 15% d’ancres de lien avec le mot-clé exact ;
• 15% d’ancres de liens dites « neutres ».

Pour que votre site apparaisse dans les premiers résultats des moteurs de recherche, vous devez développer une stratégie seo adaptée. Pour cela, il faudra prouver à Google que vous respectez ses exigences. Il existe un moyen de connaître à l’avance si votre site internet a une chance d’être bien positionné par les robots de Google. Il s’agit d’un outil appelé domain authority. Celui-ci permet d’évaluer la qualité de votre nom de domaine d’un site : nombre de liens, score d’autorité, etc…

Le terme Domain Authority ou Autorité de domaine en français, évalue la puissance de votre site web sur une échelle de 0 à 100. Cette donnée a été développée par moz (MozBar, Open Site Explorer). Le calcul est basé sur les critères de classement utilisés par l’algorithme de Google.

Pour calculer le score d’autorité de domaine d’un site, Moz prend en compte une quarantaine de critères. Ceux-ci n’ont pas été clairement dévoilés. Par ailleurs, on sait qu’ils incluent la qualité et la quantité des liens externes pointant vers votre site. Pour améliorer votre autorité, il est recommandé de viser un profil de liens de sites possédant une forte autorité de page.

Les moteurs de recherche ne cessent d’innover pour pouvoir évaluer la réputation globale des sites internet. Entre autres, l’algorithme de Google valorise la fiabilité d’un site non seulement à travers le contenu, mais surtout sur la stratégie de netlinking (nombre de liens entrants, etc.). Plus l’autorité de domaine d’un site est élevée, plus il est qualifié de crédible et de puissant aux yeux de Google. Un haut score d’autorité permet ainsi d’améliorer votre positionnement dans les résultats de recherche.

• DA inférieur à 10 : très faible ;
• DA compris entre 10 et 20 : passable ;
• DA compris entre 20 et 40 : convenable ;
• DA compris entre 40 et 60 : fort ;
• DA supérieur à 60 : très fort ;
• DA supérieur à 80 : extrêmement fort.

Pour améliorer votre score d’autorité, vous devez travailler sur quelques points.

Assurez-vous que votre contenu soit authentique et de qualité. Pensez également à une mise à jour régulière. Votre contenu doit être parfaitement structuré et contenir les mots-clés adéquats.

Il faut que vos liens soient répartis dans tout le site et pas uniquement sur la homepage. Il faut également que vos pages soient liées par des liens internes.

Pensez à évaluer le pourcentage des pages populaires sur votre site. Vous devez veiller à ce que le jus de lien soit réparti comme il se doit entre chaque page.

Vous devez également vérifier que votre serveur fonctionne correctement. En effet, votre score d’autorité peut être affecté par la vitesse de chargement ou les pannes régulières.

Lors d’une recherche de google, l’internaute priorise les sites fluides et agréables à visiter. Il faut que votre site soit optimisé pour optimiser les taux de conversion.

L’adresse IP ou Internet Protocol est un numéro unique, propre à chaque appareil électronique, qu’il s’agisse d’un ordinateur, d’une tablette, d’un smartphone, d’une console, d’un assistant virtuel ou autre engin numérique. Il s’agit d’une sorte d’identité numérique. Une fois qu’un appareil est connecté à internet, il se sert de l’adresse IP pour communiquer avec d’autres appareils connectés. Les dispositifs électroniques utilisent l’adresse ip pour acheminer les données. Il ne peut y avoir plusieurs dispositifs n’ayant qu’une adresse ip dans un même réseau internet.

On compte plus de 4,3 milliards d’adresses Internet Protocol dans le monde. L’adresse IP permet aussi aux fournisseurs d’accès internet de surveiller les flux de données de leur clientèle et de contrôler les utilisations abusives du réseau. Elle peut influencer l’ergonomie web ainsi que l’expérience utilisateur.

Une adresse Ip est composée d’une série de quatre chiffres séparés des points. Elle peut être statique ou dynamique, en fonction des fournisseurs d’accès internet. Dans tous les cas, elle est uniquement accessible à partir de l’appareil auquel elle a été attribuée.

Il existe plusieurs catégories d’adresses IP :

• Les adresses Unicast : il permet d’identifier un utilisateur au sein d’un réseau local. On distingue les adresses non-routées, les adresses ip publiques et les adresses uniques ;
• Les adresses ipv4 ou adresses broacast : elles sont codées sur 32 bits en notation décimale pointée ;
• Les adresses Ipv6 et ipv4 ou adresses multicast : longues de 128 bits, elles sont notées en hexadécimal.

Pour trouver votre adresse ip, vous pouvez vous rendre sur des sites spécifiques permettant de générer votre adresse IP en quelques clics. Exemple https://www.my-ip-finder.fr/trouver-mon-adresse-ip-locale/ Vous pouvez aussi accéder aux paramètres de connexion de votre réseau domestique. Pour ce faire, il vous suffit d’aller dans les paramètres et de sélectionner le réseau wi-fi à partir duquel votre appareil est connecté.