Dans le SEO, les boucles et chaînes de redirection nuisent à l’expérience utilisateur et au référencement. Elles surviennent souvent après des migrations de site ou modifications d’URL. Les boucles créent des redirections infinies, entraînant l’erreur « ERR_TOO_MANY_REDIRECTS ». Cet article explique comment identifier et corriger ces erreurs, tout en présentant des stratégies préventives.

Les boucles de redirection définissent un cycle où une URL A redirige vers une URL B, qui elle-même redirige vers A, formant une séquence sans fin bloquant l’accès au contenu. Ces boucles résultent d’erreurs dans les règles de redirection.

Cruciales en SEO, elles nuisent à l’expérience utilisateur et gaspillent le budget de crawl des moteurs de recherche, les empêchant d’indexer des pages importantes. Les navigateurs web limitent généralement les redirections à vingt pour éviter ce piège.

Les chaînes de redirection se forment quand une URL redirige vers une autre, créant une suite de redirections. Moins critiques que les boucles, elles rallongent le temps de chargement et peuvent diluer la pertinence SEO d’une page. Une chaîne excessive peut affecter le référencement, en dégradant la transmission de l’autorité de page et en réduisant l’efficacité du crawl. Ainsi, la gestion précise des redirections est essentielle pour un SEO performant et un site web fonctionnel.

La détection des boucles et chaînes de redirection est importante pour maintenir la santé SEO d’un site. Voici quelques outils et méthodes recommandés :

• Outils d’analyse de liens tels que Screaming Frog SEO Spider, Ahrefs, ou SEMrush, qui peuvent crawler votre site et identifier les redirections.
• Extensions de navigateur comme Redirect Path qui permettent de visualiser les redirections en temps réel lors de la navigation.
• Outils de ligne de commande tels que cURL ou wget, utiles pour les utilisateurs techniques souhaitant tester les redirections via le terminal.

Une fois détectées, les boucles et chaînes de redirection doivent être résolues rapidement :

• Correction des règles de redirection : Modifiez les règles pour que l’URL de départ redirige directement vers l’URL finale.
• Vidage du cache et des cookies : Effacez le cache et les cookies de votre navigateur pour supprimer les anciennes redirections enregistrées.
• Vérification des URL dans les paramètres WordPress : Assurez-vous que l’adresse WordPress (URL) et l’adresse du site (URL) correspondent dans les réglages.
• Élimination des espaces superflus : Vérifiez qu’il n’y a pas d’espace au début ou à la fin des URL.
• Vérification du ‘www’ : Assurez-vous de l’inclusion du ‘www’ après ‘https://’, si nécessaire.
• Réinitialisation du protocole de sécurité : Remettez les paramètres de sécurité à leurs valeurs par défaut et, si nécessaire, réinitialisez votre certificat SSL.
• Examen du fichier .htaccess : Inspectez le fichier .htaccess pour corriger les erreurs qui pourraient influencer les redirections.
• Désactivation des plugins WordPress : Désactivez tous les plugins pour déterminer si l’un d’eux cause le problème, puis réactivez-les un par un.
• Vérification des redirections sur le serveur : Contrôlez les redirections configurées sur votre serveur pour s’assurer qu’elles sont correctes et qu’il n’y a pas de redirections 301 vers elles-mêmes.

Pour prévenir les problèmes de redirection, voici quelques bonnes pratiques :

• Utilisez des redirections 301 pour les changements d’URL permanents, car elles transfèrent la plupart de l’autorité de la page originale vers la nouvelle page.
• Évitez les redirections inutiles en mettant à jour les liens internes et externes pour pointer directement vers l’URL finale.
• Testez les configurations de redirection après leur mise en place pour vous assurer qu’elles fonctionnent comme prévu.
• Surveillez régulièrement votre site à l’aide des outils mentionnés pour détecter et corriger rapidement tout nouveau problème de redirection.

Lorsque vous lancez une requête sur un moteur de recherche, il peut arriver que l’une des premières pages proposées n’ait aucun rapport avec votre recherche. Ce genre de problème ne vient pas forcément de Google. En effet, il est probable que vous ayez fait l’objet du cloaking.

Par définition, le cloaking ou ip delivery consiste à présenter un contenu différent à un visiteur humain et au robot de moteur dans un but d’optimisation SEO. Il figure parmi les techniques de dissimulation les plus célèbres en matière de black hat. D’ailleurs, les techniques de cloaking peuvent être considérées comme du spamming, ce qui est passible de sanction.

Pour cloaker un robot d’indexation, il est possible de procéder différents moyens :

• Le cloaking sur le user agent : il s’agit de la méthode la plus courante. Dès lors qu’un internaute à visiter une page, une chaîne de données est renvoyée dans la partie head du code source, selon le navigateur utilisé. Il s‘agit de l’en-tête http de la page servie ; Pour éviter de proposer une page indigeste et répondre aux critères SXO, cette technique scinde la page en 2 versions : une version visuelle soignée et une très brute avec le texte optimisé.
• Le cloaking sur adresse IP : cette méthode s’appuie sur les adresses ip utilisées par le visiteur ; Il consiste à détecter une adresse IP et à adapter le contenu en fonction de la localisation. Cette technique permet de proposer au robot une page très optimisée.
• Le cloaking par javascript flash ou dhtml : dans ce cas, le cloaker va présenter une page truffée de mots-clés, dont le contenu comprend une redirection dans l’un de ces langages vers une page fiable ;
• Le cloaking avec referrer : Cette technique de cloaking utilise l’en-tête HTTP_REFERER pour déterminer si l’internaute est un crawler ou non. Si ce n’est pas le cas, un contenu différent sera affiché.
• Le cloaking par la langue : Cette méthode de cloaking utilise l’en-tête HTTP Accept-language pour déterminer la langue du visiteur. Si ce n’est pas l’anglais, un autre contenu sera affiché.
• Le cloaking du texte ou bloc invisible : il s’agit de la technique Old school la plus risquée en ajoutant du texte invisible (typo et fond de la même couleur)

Le cloaking vise l’augmentation du budget crawl d’un site internet et de générer des leads qualifiés. Il permet surtout d’optimiser le positionnement d’une page web dans les SERP. Il est clair que cette technique s’éloigne largement des pratiques de white hat tolérées par Google. Ce dernier prévoit de lourdes pénalités algorithmiques et manuelles comme la désindexation. Celle-ci peut être appliquées à une partie ou à l’intégralité d’un site web.

Oui, dissimuler du contenu réel peut être bon pour le référencement naturel. Il permet aux webmasters de présenter un contenu différent aux moteurs de recherche qu’aux visiteurs humains, améliorant ainsi leur classement SERP. Cependant, l’invisibilité doit toujours être utilisée avec parcimonie et uniquement lorsque cela est nécessaire. Il est important de se rappeler que Google pénalisera le cloaking s’il est détecté ou dénoncé.

Le content siloing est une technique de référencement SEO qui consiste à hiérarchiser le content marketing d’une page afin d’optimiser l’expérience utilisateur et facilite la compréhension des robots d’indexation. Egalement appelé structure de contenu en silo, il permet d’organiser le maillage interne des liens des pages d’un site internet. Il est important de ne pas confondre cette technique avec le cocon sémantique.

On distingue deux types de siloing, notamment :

• Le siloing thématique : les silos thématiques visent à agencer les contenus pour permettre une navigation plus fluide et plus intuitive. C’est un moyen de guider les internautes sur les moteurs de recherche. L’idée est de classer les pages selon les besoins des utilisateurs ;

Le siloing sémantique : Comme son nom l’indique, la structure en silo sémantique permet de classer les pages en fonction de leur univers sémantique. C’est un moyen de simplifier le travail d’indexation des moteurs de recherche.

Un siloing parfaitement construit offre de nombreux avantages, notamment l’optimisation de l’architecture globale et l’ergonomie de votre site. En rédigeant des contenus qualitatifs dans le silo, ce dernier facilitera votre stratégie de search engine optimization seo sur des mots clés concurrentiels. L’utilisation de l’organisation en silo offre le maillage interne en créant des liens pertinents et contextualisés. Vous l’aurez compris, le siloing est un excellent moyen d’améliorer votre visibilité sur la toile et de générer des leads qualifiés.

Pour ce faire, il faudra identifier clairement vos cibles en mettant en place des buyers personas. Vous devez également établir une stratégie de create content. Choisissez des mots-clés pertinents et de longue traîne. Basez-vous sur un champ sémantique spécifique et les informations connexes. Vous pouvez vous servir d’un mindmapping afin de visualiser au mieux la future arborescence de votre site. En ce qui concerne la création de contenus, priorisez la qualité. N’oubliez pas d’intégrer des liens pertinents à l’intérieur de vos pages.

La création d’une arborescence en silo est une tâche longue et fastidieuse, c’est pourquoi il sera plus facile de la mettre en place dans ces situations :

• Avant le lancement de votre site
• Lors d’une refonte
• À la suite d’une pénalité Google

Pour mettre à jour sa base de données d’indexation de site Google, le robot d’exploitation crée une copie de chaque page web qu’il analyse et stocke sur ses serveurs. Ainsi, les versions copiées sont mises en cache et constituent la mémoire du moteur de recherche. Comment fonctionne le cache de Google ? En quoi est-ce important pour votre stratégie SEO ? Est-il possible de consulter la version mise en cache d’une page ?

Le terme Cache Google désigne la sauvegarde temporaire de toutes les copies des pages indexées par les Google bots. Une fois que la page a été indexée, elle est directement copiée. C’est à ce moment que le répertoire est mis à jour par les robots d’exploitation. Google évalue le code html source des pages en cache pour pouvoir les proposer dans les résultats de recherche.

Pour vérifier si un site web est mis en cache par Google, il faudra utiliser l’outil Google cache checker. Pour afficher les pages copiées ou effectuer une recherche spécifique sur un cache, il suffit d’entrer les URL en question.

Le cache Google permet d’obtenir des résultats efficaces en matière de SEO. L’objectif principal du cache de Google est d’aider les moteurs de recherche à afficher les résultats plus rapidement. En effet, ce processus réduit considérablement la latence pour les internautes. Dans ce dernier cas, vous pouvez également naviguer vers des pages temporairement indisponibles, complètement fermées ou ayant des problèmes de chargement (en raison d’un trop grand nombre de requêtes au serveur).

Pour les propriétaires de sites Web, le cache de Google est important pour plusieurs raisons.

La mise en cache d’une page sert l’utilisateur, mais elle permet également au propriétaire de réduire le temps de chargement de la page entre la requête de l’utilisateur et le serveur. Ainsi ca permet d’améliorer l’expérience utilisateur pendant une recherche google en réduisant le temps d’attente

Une alternative temporaire si le site Web n’est pas disponible. La mise en cache du site Web permet de diffuser le contenu aux utilisateurs même si l’URL ne fonctionne pas correctement.

La version en cache de votre site Web montre dans quelle mesure votre site Web est indexé pour vous aider à identifier la source du problème.

Vous pouvez obtenir la date et l’heure du dernier passage Googlebot sur votre site Web en accédant à votre cache Google. Gardez à l’esprit que les experts SEO utilisent ces informations pour tirer parti d’une indexation plus rapide afin d’adapter leur stratégie SEO et de rendre votre contenu plus accessible. Par exemple, en augmentant le nombre de liens… Cela leur sert également à étudier la concurrence…

Pour supprimer les pages du cache Google, il faudra se rendre sur Google search console et cliquer sur le bouton Suppression. Dans ce cas, vous pouvez choisir de supprimer l’URL de manière temporaire ou opter pour une suppression définitive. Il est également possible d’utiliser le cache Google pour résoudre certains problèmes sur un site web. Le cache Google peut même contribuer à l’optimisation d’une stratégie SEO.

Les étapes sont :

• Depuis la page résultat, à côté de l’url, cliquez sur le triangle pointant vers le bas
• Cliquez sur le petit rectangle qui apparaît avec la mention « En cache » pour être redirigé vers le cache du site souhaité.

Si votre navigateur est sous Firefox ou Chrome, vous pouvez aussi choisir d’entrer directement l’URL du cache d’un site. Par exemple dans la barre recherche [cache: https://www.oscar-referencement.com/]. Dans l’exemple ci-dessous, vous trouverez la présence d’un bandeau supérieur vous indiquant le dernier passage du Googlebot (date et heure).

Toute stratégie digitale requiert un suivi adapté pour obtenir les résultats escomptés. Pourtant, évaluer l’efficacité de vos campagnes marketing peut être une opération complexe, sans les bons outils. Heureusement, Google a mis en place différents supports vous permettant d’accéder facilement à une base de données importante. Si vous avez investi sur Google Ads ou mis en place une stratégie SEO, vous avez besoin d’indicateurs vous permettant de définir les résultats obtenus et de connaître l’impact de votre publicité en ligne.

Le CPA ou Cost Per Action en anglais est un terme fréquemment utilisé en marketing digital. Il s’agit d’une unité de mesure permettant de déterminer le coût moyen par conversion. Faites appel à une agence seo pour exploiter cet élément dans les meilleures conditions.

Le CPA ou Coût par Action est un indicateur financier permettant de mesurer l’impact d’une campagne publicitaire sur le chiffre d’affaires de l’entreprise. L’objectif est de générer des leads qualifiés et d’optimiser le nombre de conversion. Le CPA est un modèle de rémunération qui n’a pas de sens pour les campagnes de branding, où l’objectif est de gagner en notoriété en touchant un grand nombre de personnes. Dans ce cas de figure, on privilégie plutôt le CPC (Coût Par Clic) ou le CPM (Coût Par Mille impression).

Le fonctionnement de ce commerce publicitaire repose sur trois éléments bien distincts :

• L’éditeur : il s’agit de la personne chargée de promouvoir les produits ou services d’une marque. Quel que soit le type de campagne adopté, l’objectif reste le même : générer plus de trafic sur le site concerné. Pour porter le titre d’influenceur ou d’ambassadeur, il est important d’être inscrit sur un réseau CPA ;
• L’annonceur : il s’agit d’une personne physique ou morale ;
• Le réseau CPA: c’est une plateforme d’affiliation permettant de promouvoir un produit/service sans dépenser une somme considérable dans la publicité digitale.

Le fonctionnement de ce mode facturation est simple : l’annonceur confie la promotion de son produit à des affiliés. Ceux-ci sont payés sous forme d’un pourcentage fixe du prix de vente à chaque action effectuée par les prospects. C’est pourquoi on parle de coût par acquisition, puisque le coût est évalué en fonction des résultats. Le référencement naturel peut être utilisé comme levier pour promouvoir une offre CPA. Une autre technique aussi est d’acheter du trafic via des annonces sponsorisés Google Ads, bannière publicitaire Facebook ads, un lien sponsorisé depuis une vidéo sur Youtube, etc…

Le calcul du CPA repose sur deux éléments essentiels, notamment le budget total consacré à la campagne et le nombre de conversions obtenues de la part de vos buyers personas. Admettons que vous avez un budget de 10 000 euros pour promouvoir votre produit/service. Si votre campagne a généré 100 conversions, le CPA est de 100 euros, soit 10 000 euros divisé par 100 euros. Cela signifie que chaque conversion vous coûtera 100 euros. Sachez que le marketing d’affiliation génère environ 16 % de l’ensemble des revenus générés sur internet.

Toutefois, ce type de calcul requiert une grande précision. Pour ce faire, vous devez cibler un canal spécifique. Vous pouvez viser les réseaux sociaux ou d’autres plateformes. Pensez à comparer le coût engendrer par les différentes options qui s’offrent à vous : s’inscrire sur un réseau (Facebook Ads), lancer une campagne Google Ads ou utiliser d’autres outils sur les moteurs de recherche.

Il est important de pouvoir évaluer les actions obtenues. Pour cela, vous pouvez procéder à différentes techniques comme le placement de balises Analytics sur les pages de votre site. Vous pouvez également procéder à différentes stratégies comme la mise en place de codes promotionnels et autre. Il faudra vérifier les éléments mis à jours en fonction de l’évolution de votre public cible.

Le CPA est donc une stratégie web facile à mettre en œuvre, pratique et rentable qui reflète l’efficacité de toute campagne de marketing ou de publicité sur Internet. Il s’agit également d’une approche relativement peu risquée par rapport à d’autres méthodes de récompense telles que le CPC et le CPM.

Le content spinning est une technique qui consiste à générer automatiquement du contenu. Elle permet de créer des centaines, voire des milliers de textes spinnés à partir d’un texte de départ. Les contenus générés traitent un sujet identique, mais avec une forme différente. En d’autres termes, il s’agit d’une technique de rotation de contenu pouvant être perçu comme du black hat. Pour détecter le duplicate content, les moteurs de recherche s’appuient sur le taux de similarité entre les sites internet.

L’objectif du content spinning est d’augmenter le trafic de votre site internet et d’optimiser votre stratégie de référencement. La création de contenu dupliqué ou de faible qualité est passible d’action manuelle, au même titre que le keywords stuffing. Toutefois, ce genre de technique n’est pas totalement sanctionné par Google Panda. Par ailleurs, il est important de se constituer une base solide en SEO. Il peut vous permettre d’optimiser la visibilité de votre site web à condition d’être fait correctement.

Pour cela, il faudra mettre en place un texte original de haute qualité. Cela implique d’éviter les erreurs linguistiques et de générer des versions avec un faible taux de similarité. Il s’agit d’une solution de facilité en matière de référencement. Faites attention à la cannibalisation de mots-clés.

Pour la mise en place de ce genre de technique, un rédacteur web construit ce qu’on appelle « masterspin ». Par la suite, il utilise un outil de content spinning. En effet, il existe des logiciels de content spinning spécialement mis au point pour générer des synonymes et copier les textes originaux. Un logiciel de spinning est programmé pour générer des textes similaires, mais suffisamment différents pour échapper aux bots de Google. Le taux de similarité des textes générés dépend de la complexité des master spins. Les logiciels de content spinning peuvent permettre de générer différents types de contenus, notamment les fiches produits, les pages géolocalisées, les satellites, etc.

Le clustering est une approche récemment introduite dans les stratégies de contenu. En raison de son efficacité, il est désormais incontournable pour la création de contenu de qualité en vue d’un meilleur référencement. Mais concrètement, que signifie « clustering » ? Comment créer un cluster ? En quoi est-ce avantageux pour une stratégie SEO ?

Le terme « cluster SEO » fait référence à un groupe de pages web créés autour d’un même sujet. Cette liaison peut se faire par le ciblage d’un même champ lexical et la recherche de mots-clés similaires. On parle également de « cluster thématique » ou « topic cluster ». Les pages en question sont liées par des liens hypertextes.

De part leur similarité, le cluster SEO et le cocon sémantique mènent souvent à la confusion en matière de content marketing. Pourtant, il s’agit de concepts totalement différents, mais interdépendants. En effet, mener une stratégie de cocon sémantique permet au topic cluster d’optimiser l’expérience utilisateur d’un site.

Mettre en place un cluster SEO dans votre brand content est une solution efficace pour optimiser le positionnement de votre site sur un moteur de recherche. En effet, les pages web dotées de topics cluster sont généralement mieux classées dans les SERP correspondant à certains mots-clés. Pour cela, il faudra créer un contenu original en ciblant des mots-clés similaires autour d’un sujet spécifique.

La création d’un cluster SEO est aussi efficace pour cibler des mots-clés de longue traîne. Ceux-ci ont moins de concurrence, puisqu’ils sont beaucoup plus spécifiques que les mots-clés classiques.

Un webmaster peut utiliser la technique de clustering pour répartir les informations par thématique (finance, éducation, politique, sport, religion, etc.) ou par type de page (article de blog, storytelling, catalogue de produits ou autre). Ainsi, il est tout à fait possible qu’une page appartienne à plusieurs clusters à la fois. Le principe est simple : aider le robot d’indexation à comprendre le sujet traité sur un site afin de pouvoir le proposer selon les intentions de recherche. Mais aussi répondre aux requêtes conversationnelles (Selon les experts, 50% des requêtes seront vocales en 2024, soit posées via un assistant virtuel Google Home, Siri…) Le clustering est également utile pour évaluer le volume de recherche d’un site dans les SERP.

Grâce au cluster thématique, vos contenus sont parfaitement organisés. Cela permet aux utilisateurs de rechercher facilement les informations sur votre site. De plus, un contenu avec une mauvaise architecture organisationnelle favorise la cannibalisation des mots-clés en seo.

Une stratégie de cluster thématique est composée de trois principaux éléments :

• Les pages piliers ou pillar en anglais : il s’agit des pages de base qui traite une généralité sur un sujet. Elles sont dotées de liens internes qui pointent vers d’autres contenus du même site. Ces derniers détaillent différents aspects de la thématique globale. La page pilier est généralement liée à la page d’accueil ou au menu du site ;
• Les articles clusters ou articles de blog : ce sont les articles qui développent une facette spécifique du sujet général abordé dans la page pilier. Chaque cluster content doit être lié à la page pilier ;

Les liens hypertextes : ceux-ci constituent le maillage interne du site. Ils relient les articles clusters entre eux et à la pillar page. Ils permettent aux internautes de découvrir le contenu du cluster à partir des pages piliers. En revanche, ils sont essentiels pour que les bots moteurs considèrent les clusters thématiques dans leur ensemble.

Pour évaluer la performance de votre campagne publicitaire, vous devez vous baser sur des indicateurs pertinents. Entre autres, vous pouvez vous pencher sur la proportion d’internautes qui ont vu et cliqué sur vos annonces publicitaires. On parle également de taux de clics ctr. Il s’agit d’un élément important dans l’optimisation d’une stratégie SEA. En règle générale, l’algorithme des moteurs de recherche les annonces Google les plus performantes en matière de clics.

Le CTR est l’acronyme de Click Through Rate. De quoi s’agit-il ? Comment l’exploiter au mieux en faveur de votre stratégie de marketing digital ?

Le CTR est un indicateur de performance permettant de mesurer l’impact de votre stratégie de référencement naturel sur les internautes. En d’autres termes, il s’agit de la proportion d’internautes touchés par les liens organiques ou la publicité d’un annonceur et cliquent dessus. Le CTR fait partie des indicateurs clés de l’univers du marketing numérique.

L’application du CTR s’applique non seulement aux publicités Google Ads, mais également sur tous les éléments cliquables, notamment les résultats de recherche Google, le bouton d’appel à l’action CTA sur une page web, les liens dans les campagnes d’emailing, etc.

L’utilité du CTR ne se limite pas à la mesure de l’efficacité d’un contenu digital sur un moteur de recherche. Cet indicateur permet également de définir le taux de clics obtenus par chaque lien affiché dans les SERP. En ce sens, un lien considéré comme pertinent est doté d’un CTR élevé. Un bon CTR permet de comprendre qu’un lien attire les internautes.

Le CTR varie en fonction de différents paramètres, à ne citer que le secteur d’activité, le taux de conversion (à partir de CTA bouton d’appel à l’action), la notoriété de l’entreprise ou encore les mots-clés utilisés dans le contenu. Un site doté d’un bon CTR peut générer des leads qualifiés. Il s’agit d’un indicateur facilement détectable sur la Google Search Console. Le CTR est surtout un élément qui vous permet de comprendre au mieux vos prospects et d’affiner votre ciblage.

Le calcul du CTR est simple. Il suffit de diviser le nombre de clics obtenus par le nombre d’affichage de l’annonce avant de multiplier le tout par 100. C’est ainsi que l’on obtient un pourcentage. Admettons que vous ayez obtenu un total de 20 clics pour 100 impressions. Vous obtenez alors un CTR de 20 %.

Différents critères doivent être pris en compte pour qu’un CTR soit bon. Tout dépendra de votre entreprise et de votre stratégie publicitaire. Pour optimiser votre taux de clics, vous devez rechercher et choisir les bons mots-clés pour mener votre campagne. Vous devez également varier les types d’annonces pour obtenir l’écho escompté auprès de votre public cible. Il est également important d’assurer la pertinence de vos CTA. N’oubliez pas de définir vos buyers personas et de réaliser une étude de marché profonde.

Pour attirer vos prospects, utilisez des supports médias comme des vidéos ou des images de haute qualité. Vous pouvez également mettre en avant les liens en les mettant en gras ou en utilisant des couleurs bien distinctes.

Le CTA ou call to action (appel à l’action) est un élément indissociable de toute stratégie SEO. Bien plus qu’un simple bouton, il s’agit d’un lien permettant d’inciter l’internaute à acheter un produit ou solliciter un service. En d’autres termes, les boutons CTA permettent d’inciter le visiteur à cliquer pour obtenir des renseignements supplémentaires, ajouter au panier, remplir un formulaire de contact ou autre.

Elément important de toute stratégie de marketing digital, le call to action doit attirer l’attention de l’internaute. Il faut qu’il soit visible, clair et particulièrement percutant. Il doit donner envie d’acheter, de s’inscrire ou tout simplement d’aller plus loin dans l’exploration d’un site internet. La mise en place du CTA peut être confié au référenceur SEO.

Le CTA peut se présenter sous différentes formes. Il peut prendre la forme d’un bouton menant vers une page web ou landing page spécifique. D’ailleurs, celui-ci figure parmi les types de CTA les plus utilisés. Il est également possible d’utiliser une image, un lien ou même un texte en guise de call to action, selon la stratégie marketing employée. Dans tous les cas, le CTA doit être placé à un endroit stratégique d’une page de votre site. Il peut aussi être mis en place dans un livre blanc ou même dans un email marketing.

La mise en place d’un CTA est importante pour optimiser le taux de conversion. Elle permet également de générer des leads qualifiés et d’optimiser vos chiffres d’affaires. Si vous souhaitez promouvoir votre marque auprès de vos potentiels clients, pensez à soigner votre CTA. Celui-ci permet de guider au mieux le visiteur de votre site.

• Utilisez des mots d’appel puissants et engageants : Utilisez des mots forts et persuasifs pour encourager les gens à agir, comme «Essayez-le gratuitement», «Inscrivez-vous maintenant» ou «Achetez aujourd’hui», « j’en profite », « demander un devis », « découvrir maintenant », etc.
• Utilisez des couleurs et des polices attrayantes : Utilisez des couleurs vives et des polices audacieuses pour attirer l’attention des utilisateurs et les inciter à agir.
• Restez concis et clair : Utilisez le minimum de mots pour expliquer ce que le CTA propose et en quoi il est utile.
• Placer le CTA à un endroit visible : Placez le bouton d’action à un endroit où les utilisateurs seront susceptibles de le remarquer, comme en haut de la page ou au milieu de l’écran.
• Faites des tests A/B pour comparer différents CTA et déterminer lequel obtient le meilleur taux de conversion.

Le CPC ou Coût par clic est un acronyme particulièrement utilisé dans l’univers du marketing digital. Il s’agit d’un mode de rémunération lié à une campagne publicitaire de displays ou de liens sponsorisés sur internet. Dès qu’un internaute clique sur une publicité en ligne (URL Google), l’annonceur paie une certaine somme au site éditeur à travers les 3 principaux fournisseurs, Google Ads, Yahoo Search Marketing et Adcenter de Microsoft. Le montant est négocié au préalable par l’intermédiaire d’une régie publicitaire ou une agence web. Le support publicitaire en question peut être un texte, une vidéo ou encore une bannière. Ce mode de facturation au Coût Par Clic est essentiellement utilisé pour les liens commerciaux, en affiliation, en publicité display (pour les campagnes de retargeting notamment) et dans le domaine de l’email marketing d’acquisition.

Le CPC est important pour évaluer l’impact de votre stratégie de communication et y apporter les corrections nécessaires. En investissant dans une annonce publicitaire CPC, vous avez la possibilité de calculer plus facilement votre retour sur investissement (ROI). Vous pourrez également optimiser votre taux de conversion et augmenter vos chances de générer des leads qualifiés. Grâce à l’indicateur CPC, il vous sera plus facile de gérer le budget consacré à vos campagnes publicitaires. A la différence des plateformes vidéos rémunérées par vue CPV comme Youtube et Dailymotion, le CPC repose sur le nombre de clics de vos annonces.

Pour le calcul du CPC, il suffit de diviser le budget total consacré au projet par le nombre total de clics obtenus. Admettons que vous avez investi 600 euros et obtenu 300 clics. Le CPC s’élève donc à 2 euros.

Toutefois, le CPC peut dépendre d’autres paramètres tels que le support publicitaire choisi, le type de placement effectué, la qualité de la plateforme, le processus de vente aux enchères, etc.

Avant toute émission de publicité rémunérée par CPC, pensez à définir au préalable le budget que vous êtes prêt à investir. Il faut également retenir que le taux de clics n’offre pas une garantie de conversion. Il peut arriver que vous payiez le site éditeur, alors que les clics n’ont pas d’impact sur votre chiffre d’affaires.

Pour l’indexation des pages web, l’algorithme de Google privilégie les sites dynamiques, informatifs et récents. C’est pourquoi les webmasters et les référenceurs engagent un effort considérable dans la maintenance, l’édition, la gestion et la création de contenus numériques. A ce jour, il existe des outils complets et innovants permettant de faciliter de genre de tâche. Avez-vous déjà entendu parler du SGC ou système de gestion de contenu ? De quoi s’agit-il ? Comment l’utiliser à bon escient ?

CMS est l’acronyme de Content Management System ou Système de gestion de contenu. Comme son nom l’indique, le CMS sert à maintenir, mettre à jour, créer et gérer le contenu d’un site de manière dynamique. Il permet d’accéder à de nombreuses fonctionnalités répondant aux exigences des éditeurs de site internet : articles de blogs, site vitrine ou autre.

Le content management system cms se décline sous différentes formes, avec des modèles de développement spécifiques. Il suffit d’utiliser un cms adapté aux spécificités de chaque site, allant d’une simple plateforme de blog à un site e-commerce générant des milliers de leads. Quel que soit le cms choisi, ce genre d’outil permet de simplifier le contrôle et l’administration de votre site. Les cms propriétaires assurent une présence en ligne optimale, sans devoir utiliser le code source (balise de données structurées, etc.).

Les CMS open source sont de véritables alliés dans la création de sites. Ils offrent de nombreuses fonctionnalités, à ne citer que la création de contenu, l’ajout de titres, l’insertion d’images, les mises à jour régulières, etc. Ils conviennent aussi bien aux petites entreprises qu’aux grandes sociétés. D’ailleurs, les CMS offrent de nombreuses fonctionnalités utiles aux professionnels :

• Création de sites web et boutiques en ligne;
• Mise en place d’une plateforme de vente en ligne (catalogue de produits, formulaire de contact, réservation en ligne, etc.) ;
• Correction des failles de sécurité (administration du site et autre).

Ils permettent aussi de gérer au mieux la navigation, le style et l’habillage du site pour une excellente expérience client. Il encourage également le travail collaboratif et aide à respecter les exigences des moteurs de recherche.

Désormais, la plupart des systèmes CMS sont dotés d’outils de conception innovants qui facilitent grandement les tâches des éditeurs. Tout ce dont vous aurez besoin, c’est de mettre en place vos interfaces web et concevoir votre stratégie de content marketing.

Le CMS permet de développer un site web dans les meilleurs délais. En effet, son utilisation ne requiert aucune connaissance technique. Il s’agit d’un outil accessible à tout le monde. L’éditeur du site n’aura pas besoin de maîtriser le codage, puisque tous les plugins indispensables sont pris en charge par le cms. Celui-ci offre surtout les meilleures fonctionnalités pour assurer la sécurité de votre base de données. Vous serez à l’abri des pirates digitaux et autres personnes malveillantes. Vous pouvez contrôler l’accès à votre site à travers un système d’autorisation. L’utilisation de ce genre d’outil est également intéressante d’un point de vue SEO. Certains CMS sont dotés d’une fonctionnalité de référencement intégrée.

WordPress est la plate-forme CMS la plus populaire du marché avec une part de marché de 60 % dans l’industrie des CMS. WordPress est si populaire qu’il est utilisé par plus de 14 % des meilleurs sites Web au monde, y compris des sites Web comme Microsoft News, le blog TED, Skype et bien d’autres.

Joomla est une autre plate-forme CMS populaire que vous devriez absolument consulter. Il compte près de 2 millions de sites Web actifs sur le Web et détient une part de marché de 6% du marché mondial des CMS.

Wix est plus qu’une simple plate-forme CMS, c’est un créateur de site Web complet avec de nombreuses fonctionnalités avancées qui vous permettent de créer des sites Web et de gérer votre contenu à partir d’un seul endroit sans aucune connaissance en codage.

Ce sont les plateformes CMS les plus populaires en SEO que vous pouvez trouver sur le marché.

Le référencement Google désigne l’ensemble des techniques permettant à un site de gagner en visibilité sur les moteurs de recherche. Grâce à une stratégie de référencement, un site internet peut facilement se positionner dans les pages de résultats de recherche Google ou SERP par rapport à une requête donnée. Par ailleurs, le référencement internet ou SEO ne se limite pas aux pages web. Il peut également s’appliquer à différents contenus comme les images, les vidéos, les lieux, les documents et autres.

Il existe deux grands types de référencement Google :

• Le référencement naturel ou SEO : le seo search engine optimization regroupe toutes méthodes et des actions visant à optimiser le classement d’un site dans les résultats organiques de Google. On distingue le référencement on-site, il repose sur un excellent maillage interne, la qualité de contenu et l’optimisation technique du site. Et le référencement off-site dont le procédé principal et la génération de liens sur des sites tiers. Il s’agit de la meilleure solution pour une stratégie sur le long terme ;
• Le référencement payant ou SEA : le SEA ou search engine advertising est une stratégie de référencement payante. Il consiste à booster des publicités sur les moteurs de recherche Google pour profiter d’un positionnement préférentiel sur des requêtes stratégiques. On peut par exemple citer les campagnes Google Search Ads, autrefois appelées google adwords. Google Ads consiste à payer une enchère pour obtenir le meilleur classement sur un moteur de recherche ou un réseau social.

Pour indexer les pages dans sa base de données, Google prend en compte différents paramètres :

• Le type de contenu : informatif, commercial, storytelling, etc. ;
• Le choix et la densité des mots-clés : pour optimiser le contenu, il est important de cibler les bons mots-clés ;
• La fraîcheur de la page : votre site internet doit être mis à jour de manière régulière, selon les nouvelles exigences de l’univers digital ;
• Le netlinking : en plus d’optimiser le contenu, il faudra soigner le maillage interne et le link juice ;

L’engagement des internautes : Google prend également en compte l’interaction des utilisateurs avec la page en question.

Créer du trafic et de la visibilité de manière pérenne. Plus de 70% des utilisateurs de moteurs de recherche sont plus susceptibles de cliquer sur l’une des 5 meilleures suggestions sur une page de résultats de moteur de recherche (SERPS). Pour en bénéficier et ainsi augmenter le nombre de visiteurs vers votre site Web ou votre boutique en ligne, ce dernier doit apparaître dans les premières positions.

Le référencement naturel ne concerne pas seulement les moteurs de recherche. De bonnes pratiques du SEO améliorent l’expérience utilisateur et la convivialité de votre site Web.

L’autorité et la crédibilité transmises par le référencement naturel. Les internautes font confiance aux moteurs de recherche et le fait que votre site Web soit mieux classé pour les mots clés qu’ils recherchent augmente leur confiance et la crédibilité des services et produits proposés dans votre site internet.

Le référencement est bon pour la promotion sociale de votre site Web. Les personnes qui trouvent votre site via une recherche Google ou Bing sont plus susceptibles de promouvoir votre site sur Facebook, Twitter, Linkedin, Instagram ou d’autres canaux de médias sociaux.

Considérer le SEO comme un levier marketing. L’avantage direct est l’augmentation du trafic organique. Le SEO peut vous donner un avantage sur vos concurrents. Si deux sites Web vendent la même chose, le site Web optimisé pour les moteurs de recherche est plus susceptible d’attirer plus de clients et de générer plus de ventes.

Le content marketing ou marketing de contenu est un élément indissociable de toute stratégie de référencement naturel. Il repose sur la création de contenus à forte valeur ajoutée afin de se positionner au mieux sur Google. Cette approche vise principalement à mettre en avant une image de marque, que ce soit sur les moteurs de recherche ou autres canaux de diffusion (réseaux sociaux, etc.).

Le content marketing consiste à créer et à publier du contenu de qualité avec une vraie valeur ajoutée. Celui-ci permettra d’augmenter le trafic et d’optimiser le classement d’un site dans les SERP. Le marketing de contenu est une stratégie de long-terme. Il a différents objectifs, que ce soit pour informer, divertir, éduquer ou répondre aux problématiques des internautes. En ce sens, il s’agit d’un véritable levier de croissance permettant d’optimiser la visibilité d’un site, l’attraction de nouveaux clients potentiels ainsi que la fidélisation des anciens clients.

Les contenus de qualité en question peuvent se présenter sous différentes formes, selon les besoins et les objectifs. Parmi les types de contenus les plus prisés, on retrouve par exemple l’article de blog. On peut également citer :

• Les contenus produits pour un site e-commerce tels que fiches produits, articles de blog, étude de cas, landing pages, témoignages
• Les contenus traditionnels comme les dossiers de fond, les magazines, communiqués de presse, livres blancs, enquêtes et sondages, etc. ;
• Les contenus digitaux tels que les infographies, les ebooks, les vidéos, les checklists, podcasts, diaporamas, webinars, etc.

Créer du contenu pertinent et de qualité en parfaite adéquation avec vos prestations vous permettra d’asseoir l’autorité de votre marque sur le marché. Votre entreprise pourra confirmer son expertise dans son secteur d’activité. Les angles éditoriaux et les objectifs associés sont différents. Les buts de ces contenus sont :

• De promouvoir la marque
• De présenter l’univers et l’historique de la marque
• De préciser son positionnement et ces valeurs

En diffusant des contenus accrocheurs et engageants, vous pourrez générer des leads qualifiés sur votre blog et site web. Grâce à un taux d’engagement optimal, vous pourrez multiplier les ventes. Le Content Marketing impactera votre chiffre d’affaires sur la durée et ses effets se décupleront au fur et à mesure des ajouts de contenu. Cette stratégie de contenu requiert de la patience : le ROI sera minime au début, mais il grandira au fil du temps.

Le content marketing est un élément important d’une stratégie SEO. En effet, les robots de Google sont particulièrement sensibles à la qualité du contenu existant en apportant une vraie valeur ajoutée aux lecteurs. C’est ce que l’on appelle des contenus evergreen. N’hésitez pas à consulter les livres blancs sur le marketing content pour voir en détail toutes les exigences de Google. De plus, ce genre d’approche offre des résultats sur le long terme. Associer les techniques de l’inbound marketing à votre stratégie de marketing de contenus vous permettra d’augmenter vos chances de convertir plus de prospects.

La mise en place d’une stratégie de content marketing repose sur plusieurs étapes toutes aussi importantes les unes que les autres.

Cette étape consiste à créer des buyer personas. Cela vous permettra d’avoir des réponses à certaines questions : quelle est votre audience cible ? Pour qui est-ce que vous souhaitez écrire ? Quel est votre profil de lecteur idéal ? Etc. Cela vous permettra de produire du contenu qui puisse intéresser vos prospects.

Vous devez veiller à ce que vos contenus soient à la fois pertinents et attractifs. Ceux-ci doivent apporter une solution aux questionnements des prospects. C’est pourquoi il est important de varier les sujets en évitant les contenus déjà existants sur la toile. Appuyez-vous sur différents outils comme Google Ads ou autres.

Il est également important de mettre en place un calendrier de publication. Pensez à publier au moins deux articles de blog par semaine. Bien évidemment, il est important de varier les formats. En vous appuyant sur un planning, vous pourrez publier de façon régulière. D’ailleurs, cela est bénéfique aux yeux de Google.

On parle également de « curation de contenu ». Il s’agit d’une stratégie de veille basée sur une thématique spécifique. Toutefois, faites attention au duplicate content ainsi qu’au marketing automation. Ce genre de pratique peut être pénalisé par Google.

D’une part, le content marketingB2C permet de générer plus de visites sur votre site web, d’optimiser la digitalisation de votre marque et de fournir un support client adapté.

D’autre part, le content marketing B2B est intimement lié à la stratégie d’inbound marketing. Il vise à augmenter les taux de clics et de conversion.

Oui, le content marketing a un coût, et donc forcément un ROI ! En ce sens, il est primordial d’être accompagné d’une agence de contenu marketing pour élaborer une stratégie de contenu et l’intégrer aux stratégies existantes.

Pour classer les sites internet dans les résultats de recherche, Google a établi un processus d’indexation. Pour cela, il a mis en place des robots spécifiques également connus sous le nom de « crawler seo ». Les robots des moteurs figurent parmi l’écosystème du search. Voici toit ce qu’il faut savoir sur leur fonctionnement.

Le crawler SEO, également appelé scanner ou spider est un robot d’indexation. Il s’agit d’un logiciel permettant d’explorer la toile et d’extraire toutes les données essentielles de chaque site internet. Le crawler de Google est connu sous l’appellation « Googlebot ».

A travers cette analyse, les moteurs de recherches assimilent la structure de votre site : maillage interne (liens entrants et liens internes), nombre de pages, stratégie seo, les balises meta, les meta descriptions, etc. Ils pourront également identifier la mise en place de techniques de black hat comme le duplicate content, les liens brisés ou autre.

Le crawler vise à détecter les éventuelles anomalies d’un site, ce qui facilite le travail des webmasters. Il permet également de réaliser l’audit seo (évaluation de la performance globale du site, analyse de la qualité des liens, etc.) Croisées avec l’analyse de logs, les informations récoltées au cours du crawling constituent une base de données importante pour l’équipe marketing.

Le crawler suit un processus spécifique. Il sélectionne et explore les pages web avant d’enregistrer les URL de celles-ci dans la base de données Google. Par la suite, il passe à l’indexation des données collectées. Il procède à une vérification des mises à jour régulières sur les sites internet.

On distingue trois grandes catégories de robots crawler.

Le crawler d’indexation est un programme informatique permettant de récolter suffisamment de données pour permettre à Google de classer les pages web dans les SERP. Le nombre de pages parcourues par ce type de crawler est appelé budget de crawl. Celui-ci varie selon le nombre de pages et la qualité du site. Il peut être consulté sur Google Search Console.

Les agences SEO utilisent le crawler de diagnostic pour les optimisations SEO. Ce type de programme informatique est également utile pour l’analyse des sites concurrents. Il a la capacité d’identifier facilement un contenu dupliqué.

Il a été spécialement pensé pour les sites e-commerce souhaitant être à l’affût de l’évolution du marché. En effet, il permet de suivre de près la politique de prix des sites concurrents. On parle également de veille tarifaire. Certaines marketplaces se servent de ce programme pour ajuster leur prix selon les tarifs moyens sur le marché.

Les professionnels du SEO utilisent des crawlers gratuits et payants pour simuler le passage d’un bot sur un site. Parmi les plus performants, on retrouve le screaming frog. Il s’agit d’un logiciel complet permettant l’extraction des éléments principaux d’un site internet. Par ailleurs, il existe d’autres types de crawlers payants tels que : OnCrawl, NetPea Spider, Botify, SEMRush, etc. Il est également possible de choisir des outils gratuits comme Xenu ou LinkExaminer.

Le crawl aidera les moteurs de recherche à comprendre comment le contenu est lié et organisé sur votre site Web, à reconnaître les nouvelles informations et à indexer rapidement votre site Web dans leurs résultats de recherche. Cela vous aidera à améliorer la visibilité de votre site sur les moteurs de recherche et à améliorer votre classement dans les SERP. Le robot de crawl va se concentrer sur les trois fondements majeurs du référencement naturel :

• le contenu pour identifier le contenu dupliquer
• le maillage interne pour informer de la qualité des backlinks internes et identifier les erreurs 404
• le netlinking pour identifier les sites qui font des liens vers vos pages web.

La notion de cocon sémantique figure sans doute parmi les stratégies de référencement les plus citées. Elle permet d’obtenir un meilleur classement dans SERP des moteurs de recherche. Ce concept a été initié par Laurent Bourelly, un expert SEO depuis 2004. De quoi s’agit-il ? Est-ce réellement efficace en matière de SEO ?

Le cocon sémantique est un concept visant à hiérarchiser les contenus d’un site internet selon leur proximité sémantique. En d’autres termes, le cocon sémantique repose sur une classification sémantique des pages mères, des pages filles, et des pages sœurs. L’architecture sera organisée en silos, chaque silo étant une branche d’une arborescence constituée d’un ensemble d’éléments hiérarchisés ou non d’un même thème ou d’une même catégorie. Les silos sont exclusifs car différents thèmes seront séparés les uns des autres. Chaque silo est spécialisé. Le contenu éditorial de chaque élément du silo comprend un ou plusieurs mots clés en réponse à d’éventuelles requêtes des internautes, ou, à défaut, des liens vers les réponses qu’ils recherchent, qui se situent dans le même silo, Top, parallèle, ou plus bas dans la hiérarchie. Le concept de siloing permet d’optimiser le maillage interne des pages et l’architecture des contenus.

Créer un cocon sémantique a pour objectif d’organiser les contenus d’un site en vue d’obtenir une meilleure position sur des mots clés pertinents. Le principe est simple : assembler les pages axées autour du même sujet. Il s’agit d’une sorte de système d’architecture appliqué dans l’univers du référencement naturel.

L’efficacité du cocon sémantique repose sur une place des liens internes parfaitement constituée. C’est pourquoi il est important de faire attention au choix des liens internes, selon la stratégie établie.

• La page mère : il s’agit de la page cible que vous souhaitez mettre en avant dans les pages de résultats de recherche. Elle lie les pages filles ;
• Les pages filles : celles-ci doivent comporter vers la page cible et les pages petites-filles. Elles sont également appelées « pages mixtes » ;

Les pages petites filles : aussi connues sous le nom de page complémentaire, elles vont pointer vers les pages filles. Elles sont également liées entre elles. Dans ce cas, on les appelle « pages sœurs ».

Le cocon sémantique permet d’augmenter le trafic et d’optimiser le taux de conversion. Il s’agit d’une stratégie particulièrement intéressante pour donner du jus de lien à une page mère. Ainsi, vous augmentez les chances de bien positionner celle-ci dans les SERP. Vous l’aurez compris, le cocon sémantique peut parfaitement s’associer à une technique SEO et de content marketing.

La création d’un cocon sémantique repose sur différentes étapes :

• La recherche de mots clés: le choix des mots-clés et du champ sémantique est une étape stratégique pour la création d’un article optimisé SEO. Il faudra partir d’un thème central que l’on pourra décliner en différents types de thématiques associées ;
• Développer une carte visuelle : on mettra en place un mind mapping afin de mémoriser les données. Il s’agit d’un outil de visualisation permettant de regrouper toutes les idées autour d’une thématique. Cette étape est indispensable pour la construction de votre arborescence. Ainsi, vous pourrez avoir une vision claire sur l’architecture de vos pages et l’interaction de celles-ci ;
• Maîtriser l’architecture d’un cocon sémantique.

Pour l’édition et la mise à jour d’un cocon sémantique, vous pouvez vous appuyer sur différents outils en ligne : SEObserver, Insight Yooda, Cocon.se, etc. En ce qui concerne l’intégration des liens de maillage interne, il est tout à fait possible de s’y prendre manuellement.